Le créateur de PUBG, Brendan Greene — alias PlayerUnknown, quitte Krafton, société qui détenait PUBG Studio, pour créer son nouveau studio intitulé PlayerUnkown Productions. Toujours situé à Amsterdam, Krafton détiendra encore une participation minoritaire dans le nouveau studio.

Brendan Greene

En mars 2019, monsieur Greene s’éloignait déjà de PUBG Studio (PUBG Corp. à l’époque) sans pour autant se retirer totalement de la société. Nous apprenions quelques mois plus tard que c’était pour mieux travailler sur un nouveau projet : Prologue. Seulement dévoilé au travers d’une courte et mystérieuse vidéo fin 2019, c’est d’ailleurs le seul jeu présenté sur le site officiel de PlayerUnknown Productions.  Un studio mis en place pour « explorer, expérimenter et créer de nouvelles technologies, pipelines et gameplay. Avec une équipe de développeurs et de chercheurs, nous explorons de nouvelles possibilités d’interaction et de connexion au sein de l’espace de jeu ».

D’après un communiqué que nous n’avons pas pu vérifier, Brendan Greene se dit très reconnaissant envers Krafton et tous ceux qui lui ont laissé sa chance durant les quatre dernières années.

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8 Commentaires


  1. Mais il n’y avait pas une version cow-boy de PUBG dans les tuyaux, ou je me mélange les pinceaux?

  2. Mon ressenti perso est que plus Greene s’éloignait (ou était écarté #complot) de la direction créative, plus PUBG tombait en décrépitude et perdait son intérêt.

  3. Je ne comprends pas comment ca peut tomber en décrepitude alors que le jeu a quand même de bonnes majs régulières.

  4. Une partie de la playerbase de PUBG s’est faite truster par Fortnite grâce à sa gratuité. Il restait quand même pas mal de joueurs qui restaient pour le skill plus important, le réalisme visuel, la vue FPS. Mais warzone a tout trusté, aussi bien sur PUBG que fortnite. le gros de la playerbase restante de PUBG est essentiellement asiatique.

    Résultat, on se retrouve avec des serveurs européens pleins de bots. Fini la tension permanente. Il n’y a que les dernières minutes intéressantes mais on passe 10 minutes à s’équiper, sans qu’il n’y ai de fight interessant. Dommage car PUBG continue de sortir des innovations intéressantes, et reste plus punitif que warzone (je trouve), mais quitte à faire un vrai BR, je préfère warzone pour ne pas être face à des IA.

    Sachant que la Chine va en plus limiter le temps de jeux de ses mineurs, ça va pas s’arranger.

  5. Il y a aussi une grande partie des joueurs qui ont arrêté d’y jouer – genre moi – suite aux nombreux scandales de triche qui ont éclaté le haut niveau de PUBG, notamment en France d’ailleurs (ce qui n’était au final qu’une confirmation et un miroir d’une triche déjà extrêmement répandue juste en mode casual)…

  6. Une partie de la playerbase de PUBG s’est faite truster par Fortnite grâce à sa gratuité. Il restait quand même pas mal de joueurs qui restaient pour le skill plus important, le réalisme visuel, la vue FPS. Mais warzone a tout trusté, aussi bien sur PUBG que fortnite. le gros de la playerbase restante de PUBG est essentiellement asiatique.

    Résultat, on se retrouve avec des serveurs européens pleins de bots. Fini la tension permanente. Il n’y a que les dernières minutes intéressantes mais on passe 10 minutes à s’équiper, sans qu’il n’y ai de fight interessant. Dommage car PUBG continue de sortir des innovations intéressantes, et reste plus punitif que warzone (je trouve), mais quitte à faire un vrai BR, je préfère warzone pour ne pas être face à des IA.

    Sachant que la Chine va en plus limiter le temps de jeux de ses mineurs, ça va pas s’arranger.

    Le pouvoir du goulag

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