Annonce de Judas, le nouveau FPS de Ken Levine (System Shock 2, Bioshock)

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Le studio Ghost Story, fondé par Ken Levine (réalisateur de System Shock 2 et Bioshock), a profité de la cérémonie des Game Awards 2022 pour annoncer son nouveau FPS : Judas. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, il ne s’agira pas d’une adaptation vidéoludique du dernier repas christique, mais plutôt d’une aventure axée sur la narration s’inspirant fortement de Bioshock. On y retrouvera donc pêle-mêle un vaisseau en perdition, des PNJ hauts en couleur, des pouvoirs magiques et des ennemis automates, le tout accompagné de visuels un poil cartoonesque.

Judas sortira « prochainement » sur Steam, Epic Games Store, Xbox Series X/S et PS5. Pour rappel, le développement du jeu a connu quelques déboires.

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9 Commentaires


  1. Pareil. Ça ressemble peut-être beaucoup à BioShock, donc pas forcément original, mais j’ai hâte d’en voir davantage.

  2. N’oublions pas que, même s’il a participé à Thief, SS2, et Bioshock, Ken Levine a commis Bioshock Infinite, qui reste très directif. J’attends de voir ce que propose réellement le jeu.

  3. N’oublions pas que, même s’il a participé à Thief, SS2, et Bioshock, Ken Levine a commis Bioshock Infinite, qui reste très directif. J’attends de voir ce que propose réellement le jeu.

    Des 3 Bioshock, Infinite est le moins directif… J’adore la licence mais les 2 premiers sont littéralement des couloirs…

    Je suis hypé mais j’attends de voir du gameplay, et le fait que ce soit édité par Sony n’est pas une bonne nouvelle.

  4. N’oublions pas que, même s’il a participé à Thief, SS2, et Bioshock, Ken Levine a commis Bioshock Infinite, qui reste très directif. J’attends de voir ce que propose réellement le jeu.

    Des 3 Bioshock, Infinite est le moins directif… J’adore la licence mais les 2 premiers sont littéralement des couloirs…

    Peut-être que ta mémoire te joue des tours. En tout cas, ce n’est pas du tout ce que j’écrivais à l’époque où je testais ces deux jeux :

    Bioshock : https://nofrag.com/dr-loser-teste-bioshock/

    https://nofrag.com/images/003191.jpg
    Au début de chaque map, votre contact radio vous assigne une mission qui consiste en général à aller chercher un objet en A puis à l’apporter en B. Dans le jargon des game designers, on appelle ça une quête Fedex. Les cartes sont constituées de 30 à 50 pièces connectées entre elles par des couloirs. Elles contiennent plusieurs points névralgiques d’où il est possible d’atteindre trois ou quatre destinations différentes.

    Les ennemis sont répartis en petits groupes généralement constitues de deux à trois individus. Une fois abattus, ils réapparaissent un peu au hasard, mais ils sont alors moins nombreux.

    Il n’est pas nécessaire de traverser toutes les pièces pour atteindre votre objectif. Si vous vous contentez d’accomplir les missions qui vous sont assignées, vous ne verrez sans doute pas plus des deux tiers du jeu.

    Bioshock Infinite : https://nofrag.com/dr-loser-teste-bioshock-infinite/

    L’exploration est minimale : Columbia se présente comme un grand couloir le long duquel vous suivez vos péripéties. Le côté aérien de la ville n’est quasiment pas exploité et vous l’oublierez rapidement. Il n’y a presque aucun embranchement, très peu de passages secrets, et le côté artificiel du gameplay vous donne l’impression de suivre un rail à travers une fête foraine.

    Les combats, s’ils sont plus nerveux que ceux des précédents Bioshock, sont également moins complexes. Pour vous empêcher d’utiliser la même arme tout le long du jeu, les développeurs ont choisi de limiter drastiquement les munitions que vous pouvez transporter, ce qui vous oblige à changer régulièrement de flingue. Et comme vous ne pouvez en porter que deux à la fois (misère…), vous serez souvent forcé de fouiller les corps au beau milieu d’un combat à la recherche d’une nouvelle arme, en vous contentant de ce qui vous tombera sous la main. Tout l’aspect gameplay émergeant des premiers Bioshock passe ainsi à la trappe : il n’est plus possible d’élaborer une stratégie en prévision d’un gros combat comme vous le faisiez face aux Big Daddies. Ici, vous spammez toutes les munitions en votre possession, vous utilisez vos pouvoirs, puis vous collez votre nez au sol et lootez les cadavres pour ramasser une nouvelle arme.

  5. Peut-être que ta mémoire te joue des tours. En tout cas, ce n’est pas du tout ce que j’écrivais à l’époque où je testais ces deux jeux :

    Ca ne signifie pas que je sois d’accord 😉
    Et j’ai dit le moins directif, pas que c’était un open world
    Pour les avoir refaits pendant les confinements je maintiens mon point de vue

  6. On a vraiment pas dû jouer au même jeu. Les deux premiers sont presque des metroivania (niveaux semi ouvert où l’on peut tjr revenir) , le 3eme est bien plus proche d’un call of duty.

  7. On a vraiment pas dû jouer au même jeu. Les deux premiers sont presque des metroivania (niveaux semi ouvert où l’on peut tjr revenir) , le 3eme est bien plus proche d’un call of duty.

    Je suis d’accord avec cet homme.

  8. On a vraiment pas dû jouer au même jeu. Les deux premiers sont presque des metroivania (niveaux semi ouvert où l’on peut tjr revenir) , le 3eme est bien plus proche d’un call of duty.

    Pour y avoir rejoué récemment, on peut toujours revenir dans certains niveaux précédents mais il n’y a rien à y faire/débloquer, c’est pas vraiment un metroidvania pour le coup…

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