Starbreeze, le studio suédois à qui l’on doit notamment la série des Payday, est en difficulté depuis le début d’année. D’abord affecté par un manque de fond, ils ont fait le choix des licenciements avant de demander un délai au tribunal de Stockholm pour présenter un plan de sauvetage. Ce plan le voilà finalement, annoncé via un communiqué sur le site officiel du développeur. Il présente un retour à l’équilibre, et même du bénéfice à l’horizon 2023.

Estimated cash flow 1923 e1570799009450 1

Pour ce faire ils vont s’appuyer sur trois actions :

  • La principale serait la sortie de Payday 3 entre 2022 et 2023.
  • La conclusion d’un accord d’édition pour Payday 3 début 2020.
  • La conclusion d’un accord d’édition pour Payday: Crime War (la version mobile de Payday) début 2020 également.

Ils comptent sur ces futurs accords avec l’éditeur (encore inconnu) pour récupérer rapidement de l’argent afin de rembourser les créanciers à hauteur de 40 millions de couronnes suédoises, soit environ 3,6 millions d’euros. Ils comptent ensuite sur ce même éditeur pour financer le reste du développement de Payday 3. De plus, le studio va se diviser en deux entités : New Starbreeze Publishing AB et New Starbreeze Studios AB.

Article précédentSale temps pour Planetside : Daybreak licencie massivement
Article suivantCall of Duty: Modern Warfare n’aura pas de lootboxes

4 Commentaires


  1. Quelle est la probabilité que le tribunal soit constitue en partie de leurs anciens clients et gobe le bobard?

  2. Avec tout les jeux vendu, tout les DLCs qui demandaient aucune développement vendu ils peuvent être dans la merde comme ça. Je saisis pas. Après je sais que le suivis sur console était une vaste blague, peut être que ça aurai changé la donne.

  3. Avec tout les jeux vendu, tout les DLCs qui demandaient aucune développement vendu ils peuvent être dans la merde comme ça. Je saisis pas. Après je sais que le suivis sur console était une vaste blague, peut être que ça aurai changé la donne.

    A à use de twd et des magouilles du patron.

Connectez-vous pour laisser un commentaire