Mais qui a demandé le retour de Boiling Point: Road to Hell sur Steam ?

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Peut-être vous souvenez-vous de Boiling Point: Road to Hell, un FPS-RPG en monde ouvert extrêmement prometteur, développé par le studio ukrainien Deep Shadows, et qui s’était fait défoncer par la critique à sa sortie en 2005, car il était truffé de bugs. Quelques mois après, des patches étaient sortis pour tenter de redresser la barre, et ça semblait beaucoup mieux. Mais les premières impressions ont la vie dure, et il est resté, pour beaucoup, un jeu pourrave avec trop d’ambition. Dix-huit ans plus tard, l’éditeur Ziggurat a récupéré les droits, et compte le republier tel quel sur Steam dès le 14 novembre prochain.

Boiling Point: Road to Hell vous propose d’incarner Saul Myers, prêt à tout pour retrouver sa fille dans un pays fictif d’Amérique du Sud. Il n’y a pas d’ennemi prédéfini, mais six factions différentes, pour lesquelles vous pouvez réaliser des missions afin de gagner de l’argent, qui vous permettra d’acheter des renseignements. Le but n’est donc pas de buter tout le monde, car il y a pas mal de dialogues. C’est le choix des missions qui déterminera vos ennemis. Et il y a aussi des compétences à développer, liées à la réalisation de certaines actions – utilisation d’armes, notamment. De mémoire, outre les bugs et les performances déplorables pour l’époque, le gunfeel était bien à chier, même pour 2005.

Si l’idée vous prend de faire un bond dans le passé, que ce soit graphiquement ou au niveau du gameplay, Boiling Point: Road to Hell sera disponible sur Steam le 14 novembre prochain.

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14 Commentaires


  1. Je me rappelle y avoir joué à l’époque et trouvé ça très raide/rigide, et dans l’ensemble mauvais, mais oui c’était grand.
    Allez, deux euros en solde pour se marrer une soirée, autrement je vois pas.

  2. Le jeu faisait quand même envie à l’époque.

    C’était l’un des tout premiers FPS en monde ouvert. A l’époque c’était encore impensable.

  3. Je me rappel que le jeu était assez présent dans la presse spécialisé de l’époque.
    Il me faisait un peu rêver ce jeu.

    Il est sorti 2 ans avant STALKER Shadow of Chernobil n’empêche. On connaissait pas trop les jeux de cette envergure à l’époque.

    J’y ai finalement jamais joué. Je pense que je me laisserai tenter lors d’une promo, rien que pour la douche froide que je me suis évité à l’époque.

  4. Ils ont prévu une refonte graphique au moins ?

    Aucune idée, mais ce qu’ils vendent sur steam ça semble être le jeu original avec ses patchs. Je me demande combien ils vont en vendre…

    A l’époque, c’était tellement injouable que j’avais pas réussi à y jouer assez pour écrire un test.

  5. C’était l’un des tout premiers FPS en monde ouvert. A l’époque c’était encore impensable.

    Je pense que le précurseur, c’était Postal 2 en 2003.

  6. J’avais passé une semaine à le télécharger à l’époque pour y jouer moins de 5 minutes tellement c’était bugé

  7. A savoir qu’il y a une suite sortie en 2008, Xenus 2 : White Gold (Boiling Point s’appelle en réalité Xenus dans son pays d’origine)

    Aucune idée de ce que ça vaut.

  8. C’était l’un des tout premiers FPS en monde ouvert. A l’époque c’était encore impensable.

    Je pense que le précurseur, c’était Postal 2 en 2003.

    En 1999, il y avait déjà Outcast et Omikron: The Nomad Soul, en monde ouvert et pouvant se jouer en vue première personne (partiellement pour Omikron.)

  9. Il m’avait fait rêver se jeu mais tellement merdique….
    Et j’ai persévéré mais rien a faire…

  10. Eh pour ma part je l’ai fini et je me souviens l’avoir grandement apprécié.
    Il avait un côté immersif mine de rien : l’ambiance, les petites mécaniques comme la possibilité de ranger son matos dans le coffre de sa voiture, reprendre de l’essence, changer de type de munition (on était en 2005 hein …), suivre des mecs dans la rue qui faisaient un peu leurs trucs à eux (on était en 2005 …)
    J’étais « dedans », je ne sais pas comment décrire cette impression. C’est vraiment le souvenir que j’en ai.

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