Nostalgique des centaines d’heures passées sur Day of Defeat, j’ai récemment relancé Day of Infamy, le FPS Seconde Guerre Mondiale des créateurs de Insurgency. Même s’il n’est pas très tendre et qu’on y passe le plus clair de son temps à se faire hurler dessus par un officier boche qui cherche sa foutue radio, il reste quand même très plaisant à jouer. Le côté arcade directement repris de DoD est ennobli par la patte de New World Interactive qui fait tout pour favoriser l’immersion. C’est du très bon.

Mais comme vous lisez NoFrag, et que nous ne sommes qu’une bande de connards élitistes qui réfléchissent avant de lâcher 20 pièces pour un FPS tournant sous le Source Engine, vous hésitez. 20 euros, ce n’est pas rien. Aussi vous serez certainement ravis d’apprendre que pour célébrer la sortie de la dernière mise à jour du jeu (ajoutant la nouvelle map Britanny et un terrain d’entraînement faisant office de tutoriel), New World lance un week-end gratuit. Dès aujourd’hui et jusqu’à lundi, vous pourrez jouer à Day of Infamy gratuitement sur Steam. Et si vous cherchez des gens avec qui chasser du nazi à Dunkerque, rendez-vous sur notre Discord.

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2 Commentaires

  1. La vraie infâmie du jeu, c’est celle des traductions ingame en français, avec plein d’erreurs du type « -ée »/ »-er ».
    Je viens de le prendre à 6€ sur Steam, et je ne regrette pas d’avoir attendu des soldes.
    Il y avait encore 150 joueurs, ceci dit.
    Le gameplay du lance-flammes est marrant, mais le jeu est en 2021 assez pauvre graphiquement. Sympa aussi qu’on puisse avoir le choix des skins en fonction de la division de l’armée où l’on est. Il manque des features sympas basiques dans un Red Orchestra 2, par exemple le coup de la MG qui surchaufferait.
    Le jeu crashe quand j’appuye sur TAB alors que je viens de l’installer, et changer les paramètres graphiques en étant juste dans le menu le fait freezer durant deux longues minutes.
    Ce qui m’a le plus déçu, c’est la map « Brittany », justement: pour une fois que la campagne de Bretagne était présente dans un FPS, j’étais enthousiasmé. Le problème c’est qu’on se croirait en Italie dans cette map, comme les assets du jeu sont utilisés à tort et à travers, par exemple les affiches et enseignes en Italien. La map est censée se passer à Brest, que je connais très bien, mais n’a presque rien à voir avec la vraie ville où les combats se sont déroulés, même si les mappeurs ont vaguement tenté au moins d’inclure les éléments suivants: 1. Un port avec des trains près d’une rivière avec des bruits de goélands, au pied d’une haute muraille; 2. un semblant de réseau de tunnels sous-marrain; 3. des bâtiments en ruine, notamment une église; 4. une certaine verticalité dans la map mais juste dans la mesure où c’est une colline. Pour le reste, rien à voir du tout, malheureusement pour moi.
    Tant pis, j’aurai au moins crâmé du noob quelques minutes au lance-flammes, et ça c’était plutôt rigolo.

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