C’est la première fois que l’on parle de Battle Cry of Freedom sur NoFrag. Un FPS (mais aussi TPS pour les nuls) PvP qui se déroule pendant la guerre de Sécession et offre des batailles jusqu’à 500 joueurs. Après une longue période de développement, le titre sortira finalement le 1er mars prochain sur Steam pour la modique somme de 19.99€. Notez qu’une démo sera disponible du 21 au 28 février à l’occasion du Steam Next Fest. Battle Cry of Freedom offre plusieurs classes, 14 cartes, de l’artillerie, pas loin de 120 armes uniques et bien évidemment des charges à la baïonnette avec un système de combat au corps-à-corps. C’est la première fois que j’entends parler du jeu, mais j’ai passé de bons moment  sur Holdfast: Nation at War. Alors, vous risquez d’avoir un retour sur NoFrag après la sortie. Prêt! En joue! Feu!

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6 Commentaires


  1. Ça me rappelle the battlegrounds le MOD pour hl1 et hl2 que j’aimais bien, affaire à suivre pour celui-ci !

  2. C’est fait par le développeur du mod « Napoleonic warfare » pour Mount and Blade warband.
    Autant dire que pour les fans de linebattle comme moi c’est day one en pleine confiance.
    Jouer du fifre pendant une charge de 200 joueurs à la bayonette, on croirait pas comme ça mais c’est une sensation plutôt unique.

  3. Petite question : comment pouvait-on convaincre des gens de commencer en première ligne à tenir un rôle de chair à canon à l’époque napoléonienne ?
    C’était sans doute pour optimiser le ratio soldat/tire, peut-être réduire les dommages colatéraux et établir une organisation.
    Mais pourquoi ne pas mettre un minimum de protection entre le soldat et l’ennemi?

    C’est une vision que je trouve confond la guerre à une partie d’échec.

  4. Ils font ça sur quel moteur ?
    Parce que 500 joueurs en simultané c est du costaud quand même …

  5. Petite question : comment pouvait-on convaincre des gens de commencer en première ligne à tenir un rôle de chair à canon à l’époque napoléonienne ?
    C’était sans doute pour optimiser le ratio soldat/tire, peut-être réduire les dommages colatéraux et établir une organisation.
    Mais pourquoi ne pas mettre un minimum de protection entre le soldat et l’ennemi?

    C’est une vision que je trouve confond la guerre à une partie d’échec.

    Les armes à canon non rayé comme les mousquets sont très peu précises à longue distance de manière générale, la trajectoire du projectile étant notamment moins plate et souvent, sauf les « chasseurs », dans les unités de ces périodes, on ne visait pas vraiment une cible unique mais plutôt la direction générale de l’unité ennemie avec justement des tirs de volée. Rapidement, la fumée de la poudre noire pouvait rendre le champ de bataille illisible: pas besoin de smoke grenade.

    Pas besoin de convaincre quiconque: souvent les nouvelles recrues étaient placées en première ligne par défaut et n’osaient se plaindre, ni ne pouvaient vues les punitions prévues. Les vétérans allaient progressivement vers les lignes arrières, donc le système faisait qu’un nouveau optimiste pouvait se dire que son tour viendrait de passer en arrière, et les vétérans ne risquaient pas de se révolter.

    Évidemment, je simplifie…

  6. Petite question : comment pouvait-on convaincre des gens de commencer en première ligne à tenir un rôle de chair à canon à l’époque napoléonienne ?
    C’était sans doute pour optimiser le ratio soldat/tire, peut-être réduire les dommages colatéraux et établir une organisation.
    Mais pourquoi ne pas mettre un minimum de protection entre le soldat et l’ennemi?

    C’est une vision que je trouve confond la guerre à une partie d’échec.

    Les armes à canon non rayé comme les mousquets sont très peu précises à longue distance de manière générale, la trajectoire du projectile étant notamment moins plate et souvent, sauf les « chasseurs », dans les unités de ces périodes, on ne visait pas vraiment une cible unique mais plutôt la direction générale de l’unité ennemie avec justement des tirs de volée. Rapidement, la fumée de la poudre noire pouvait rendre le champ de bataille illisible: pas besoin de smoke grenade.

    Pas besoin de convaincre quiconque: souvent les nouvelles recrues étaient placées en première ligne par défaut et n’osaient se plaindre, ni ne pouvaient vues les punitions prévues. Les vétérans allaient progressivement vers les lignes arrières, donc le système faisait qu’un nouveau optimiste pouvait se dire que son tour viendrait de passer en arrière, et les vétérans ne risquaient pas de se révolter.

    Évidemment, je simplifie…

    Jusqu’à la garde royale qui collait au train du chef, bien loin du champ de bataille. Après cela n’explique pas pourquoi les soldats restaient complétement à découvert au début du conflit.

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