Les gars de The Adrenaline Vault ont testé un des vingts niveaux de PainKiller. D’après leur preview, on peut dire que sur le plan technique, elle confirme ce qui a été vu par HomeLanFed : le moteur physique Havoc 2.0 tient le choc. Nous avons droit à un FPS riche en textures variées et détaillées. Bref, c’est joli et pas monotone : les developpeurs se sont engagés à ne pas réutiliser les textures d’un niveau à un autre. Le point fort du jeu semble être l’animation particulièrement réaliste.

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[–SUITE–]

L’histoire ? Vous incarnez un mercenaire dont le but est simple : flinguer du mort-vivant pour sauver l’humanité… L’intringue n’est pas plus détaillée que ça, mais c’est suffisant pour un FPS (ou pour un film de Dolph Lundgren). Chaque arme a un combo, l’environnement est destructible, et pour chaque centaine de zombies tués, vous avez le droit de vous transformer en une bête démoniaque (ai-je mal lu ?).

PainKiller est pour l’instant a moitié bourrin : l’IA des monstres de base (en l’occurence des morts-vivants) est (dans la version testée) proche de celle des monstres de Serious Sam : ils courent droit vers vous pour vous arracher les tripes.
Les boss sont déjà beaucoup plus malins : ils sont capables d’utiliser le décor, de se planquer, de vous bloquer les issues, etc (vraiment impressionant…). À ce sujet, l’équipe de développement a promis des monstres beaucoup plus futés, et capables d’actions collectives dans la version finale du jeu.

Au final, PainKiller ne sera pas le jeu qui révolutionnera la « vieille » maison FPS, mais plutôt une belle couche de peinture neuve posée dessus.

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