Après avoir été repoussé à début 2022, Ghostwire: Tokyo s’est à nouveau montré avec une nouvelle bande-annonce hier, à l’occasion du PlayStation Showcase. Au programme, un peu de gameplay ainsi que l’introduction de l’antagoniste du jeu, Hannya.
Hannya, une puissante occultiste, a déchaîné sur Tokyo des forces surnaturelles mortelles provoquant la disparition de la population. Sauf vous. Une entité spectrale s’est ancrée en vous, et grâce à ses pouvoirs surnaturels, vous allez faire face à l’inconnu. Pour rappel, Ghostwire: Tokyo est un FPS atypique dépourvu d’armes à feu, dans lequel vos armes seront vos mains. Vous ferez face à des ennemis étranges, comme des écolières fantomatiques, des femmes en papier, des fantômes dignes de l’esprit d’un enfant de 8 ans ou encore des hommes en costard sans visage qui font penser au Slender Man.
Développé par Tango Gameworks à qui l’on doit The Evil Within, et édité par Bethesda, Ghostwire: Tokyo n’a toujours pas de date de sortie mis à part un vague « printemps 2022 », encore moins de prix, ni de page Steam. Juste un site officiel qui comprend quelques captures d’écran. Il faudra donc être patient pour en savoir plus, mais au moins le jeu a toujours l’air d’être sur les rails, c’est le plus important.
Faut voir, au moins ça a l’air original, même si c’est loin d’être suffisant pour faire un bon jeu.
Ce jeu a sans doute des problèmes de développement. Il a été annoncé en 2019 à l’E3 par sa directrice artistique qui c’est barrée quelques mois après. C’est assez rare qu’une personne à un poste aussi élevé s’en aille avant la fin du projet, d’autant plus quand elle a servi la com’ du jeu. Ça risque d’être de la merde mais on verra bien.
https://gamerant.com/ikumi-nakamura-new-studio-following-ghostwire-tokyo-dev-departure/
En tout cas ça sent le futur article sensationnaliste d’un Jason Schreier ou wannabe, avec le bingo habituel: « toxique », « systémique », « metoo », « boys club » etc… Même si c’est vrai que les japonnais sont moins des drama queens et des attention whores, ça reste possible qu’un dev est la belle idée de pleurnicher dans la boite mail d’un « journaliste » JV, plutôt que de poursuivre en justice ou œuvrer pour la syndicalisation.
Dès lors se sera le bal des faux cul qui veulent faire les mecs biens sur internet: condamnation « unanime », emphases et exagérations, introspection absente, discernement inexistant. Dans la plupart des cas précédents ce fut toujours le même schéma: emballement puis plus rien. 2/3 mecs virés sous la pression sociale en dehors de toute procédure, pas de débat contradictoire, pas de statut de victime, pas de condamnation judiciaire à hauteur des faits avancés parce que largement exagérés ou extrapolés de la réalité. Puis « return to business as usual »…
Bref les seuls à tirer les marrons du feu et se frotter les mains c’est les « journalistes » JV et les créateurs de contenus sur Youtube, qui aiment nous parler JV mais pas vraiment, parce que les slacktivistes aiment payer/s’abonner pour que l’on leur serve des biais de confirmation sur un plateau.
Ouh la la, pas besoin de faire tout un cirque mélo dramatique. Si le jeu est mauvais à sa sortie, perso, je ne vais pas en faire tout une histoire. Il y a d’autres jeux…
On voit trop peu de gameplay, mauvais signe ? « Développé par Tango Gameworks à qui l’on doit The Evil Within »
Dans la vidéo on voit une jeune demoiselle dans le coma avec des trucs sur la tête.
Dans The Evil Within 1 et 2. Il y a aussi une fille dans la coma à cause d’une expérience scientifique d’un groupe ( bla-bla). Et tout cette machination fait que ça créer des choses dans le réel sans être le réel ( euh, j’ai du loupé un truc ) puis ça part en sucette. Cela me fait penser à ça en voyant la fi-fille de la vidéo. Peut être que ça peu s’en rapprocher.
J’ai bien aimé The Evil Within, l’ambiance est bien. Le second ressemble trop au précédent niveau mécanique de gameplay, du coup j’ai lâché.
Très déçu par The Evil Within 1 perso. On s’endord, le gameplay est chiant, pourtant il y a des bonnes idées et une bonne ambiance
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