Thomas Tippl, l’un des grands patrons d’Activision, raconte au LA Times que son entreprise traite «extrêmement bien» ses développeurs, qu’ils ont plus de liberté créative que partout ailleurs et qu’ils sont mieux payés que chez les autres éditeurs. Sans compter que les développeurs peuvent travailler sur les plus grosses franchises de l’industrie. Quelle chance alors ! A le croire, Activision serait donc le paradis des développeurs. Quel dommage que personne ne partage son avis.

Pendant ce temps, Robert Bowling, le pénible d’Infinity Ward, répond à 21 questions dont aucune sur la situation de son studio.

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