Sergiy Grygorovych, le fondateur de GSC Game World, a passé prêt d’une heure à répondre aux questions des fans de STALKER. La session a été filmée et uploadée sur Youtube, ce qui nous a permis de dénicher quelques informations avec l’aide de notre plus beau dictionnaire russe. Accrochez-vous :
- Le développement de STALKER 2 est achevé à environ 50%.
- Les premières vidéos et captures d’écrans seront dévoilées seulement 2 ou 3 mois avant la sortie du jeu. On espère que c’est une blague.
- STALKER 2 proposera une seule et très grande map, sans temps de chargements et avec plusieurs régions différentes à traverser. 50% de la carte sera constitué de lieux déjà vus dans les précédents épisodes.
- Strelok est le héros du jeu. C’est lui que le joueur incarne.
- L’aspect RPG sera encore plus présent que dans Call of Pripyat.
- Le portage vers la version Xbox 360 est quasi-certain, mais les développeurs rencontrent plus de difficultés avec la version PS3. Concernant cette dernière, ils prendront une décision dans le courant de l’année 2012.
- Il est possible que STALKER 2 ne propose pas de mode multijoueur.
- Finalement, il n’y aura pas de femmes dans STALKER 2 (faudrait savoir).
- Durant le développement, l’accent est mit sur les sons, les animations, les modèles, la physique et les monstres. Sergiy annonce également qu’il y aura de nouvelles armes.
- Il sera peut-être possible de piloter des véhicules, mais uniquement pour accomplir des quêtes bien spécifiques.
- Le jeu sera moddable, au moins autant que les précédents.
- La BO du jeu sera composée par MoozE, mais pas avant les 12 prochains mois.
- Pour le moment, GSC emploie 60 personnes sur STALKER 2.
- Le budget dédié au développement est estimé à 3 millions de dollars (il en a fallu 7 pour les trois premiers épisodes).
- De la toute première équipe à avoir travaillé sur Oblivion Lost, il ne reste plus personne chez GSC. Nombre d’entre eux sont partis chez 4A-Games pour travailler sur Metro 2033.
Nous qui espérions croiser la route de STALKER 2 pendant la GamesCom du mois prochain, c’est mal barré.