En 2015, Dying Light premier du nom avait su marquer les esprits avec une formule intéressante reposant sur le parkour et des combats focalisés sur le corps-à-corps. Nous étions donc plutôt emballés par l’annonce de Dying Light 2 en 2018. Entre-temps, avec les départs du studio, les reports de la date de sortie et la communication tardive et exclusivement axée sur l’importance des choix dans le jeu, nous étions de plus en plus dubitatifs. Après une cinquantaine d’heures passées sur le jeu, il faut croire que nous avions un bon pressentiment.

Genre : Parkour en monde ouvert | Développeur : Techland | Éditeur : Techland | Plateforme : Steam / EGS | Configuration recommandée : AMD Ryzen 5 3600X ou Intel i5-8600K, 16 GB RAM, Radeon RX Vega 56 ou Nvidia RTX 2060 Prix : 59,99€ | Langues : VO ou VF | Date de sortie :  4 février 2021 | Durée de vie : 500h Une trentaine d’heures pour terminer la campagne solo et faire un rapide tour du jeu

Structure solide

En 2015, le studio polonais Techland nous proposait Dying Light, un FPS en monde ouvert zombiesque peut-être peu ambitieux, mais très rafraîchissant. Avec ses déplacements fluides directement inspirés du parkour, ses combats quasi uniquement au corps-à-corps et ses nuits envahies de créatures plus dangereuses, on sortait nettement des sentiers battus proposés par Ubisoft et cie. Ainsi, on passait une vingtaine d’heures très agréables à évoluer dans une carte de taille moyenne certes, mais à l’architecture maîtrisée et à l’esthétique plutôt soignée. Fort de son succès commercial (17M de joueurs en 2019) et critique relatif, Techland a continué d’apporter beaucoup de contenu à Dying Light jusqu’à aujourd’hui. Quand sa suite est annoncée en 2018, avec Chris Avellone (Planescape: Torment, Icewind Dale et l’un des fondateurs de Obsidian) nous décrivant un jeu où chaque décision aura un impact décisif non seulement sur l’histoire, mais aussi sur la carte ou le gameplay, il y avait de quoi être intéressé. Après tout, les bases du premier opus sont très bonnes, alors si vous y accolez un game designer de renom ayant travaillé sur des licences phares, pourquoi ne pas s’emballer ? Bon, déjà, parce que cette promesse d’un jeu où tous nos choix ont un réel et important impact sur la suite de l’aventure, ça fait des décennies maintenant qu’on nous la garantit et on attend encore qu’elle se concrétise — en tout cas dans un FPS. Ensuite, le développement de Dying Light 2 semble aussi avoir rencontré plusieurs embûches avec le départ de plusieurs personnes, dont Chris Avellone, et au moins deux reports (#1#2). Si en 2019, nounoursss ressortait enthousiaste de la présentation du jeu à la GDC, ces récents déboires et la communication axée très lourdement sur les « choix ont un impact blablabla » ont sérieusement entamé notre optimisme concernant Dying Light 2.

Dying Light 2 fish eye

Quand on arrive en ville

Ce premier chapitre en long récapitulatif me semblait nécessaire pour montrer à quel point le jeu peut être considéré comme une déception. En effet, oubliez les bandes-annonces de 2018 ou 2019, car malheureusement, Dying Light 2 est bien une complète désillusion. Sans même parler de downgrade graphique — récurrent dans le milieu et dont on finit par avoir l’habitude, beaucoup de choses semblent avoir été tirées vers le bas lors du développement. Ce qui frappe tout d’abord, c’est l’architecture des niveaux qui arrive à faire moins bien que le précédent épisode. Dans la première partie du jeu, le level design est vraiment très loin de ce qui nous a été présenté dans les vidéos de Techland. Les bâtiments sont moins hauts, moins détaillés et se ressemblent presque tous. Les rues sont vides et manquent cruellement de détails. Si les toits jonchés d’arbres et de structures permettant de se déplacer font brièvement illusion au début du jeu, on finit rapidement par remarquer les nombreux copiés-collés. Comme si on avait étiré la surface du jeu en espérant augmenter la durée de vie au passage, mais en oubliant de combler les espaces vides. On ressent bien que certains endroits ont davantage été travaillés que d’autres, plus particulièrement lors des missions principales, ce qui accentue d’autant plus cette impression d’avoir voulu viser trop grand. Le studio aurait probablement gagné à se concentrer sur une carte plus petite, ou une série de niveaux semi-ouverts comme dans Dishonored. Le pire étant la deuxième partie de la carte, avec ses gratte-ciel insipides répliqués une dizaine de fois et tous ornementés des mêmes plaques de tôles. Les intérieurs ne sont pas meilleurs, avec un level design inintéressant, des pièces vides ou à peine remplies de meubles identiques agencés plus ou moins de la même manière. Summum du manque absolu d’originalité, attention accrochez vous : il y a des tours à grimper pour dévoiler les points d’intérêts de la carte…

Bof Zombie

Hélas, ce n’est pas le seul aspect négatif concernant le gameplay. Les fondamentaux du jeu original n’ont pas beaucoup évolué, et c’est peut-être bien le seul point positif de Dying Light 2. Les combats rapprochés relativement efficaces sont cependant toujours assez basiques  : on bloque, on esquive et on martèle le bouton gauche de la souris pour fracasser le crâne de nos ennemis dans une débauche d’hémoglobine et de membres arrachés. Rapidement, on débloque de plus en plus d’aptitudes gymnastiques qui serviront autant à se déplacer plus rapidement qu’à contourner, toucher ou brutaliser les adversaires. Enfin… Ça, c’est quand on ne se bloque pas dans un coin de table ou le dossier d’une chaise, brisant notre flot de coups de batte de baseball. Ou quand notre arme ne disparait pas mystérieusement de l’écran, ou encore quand la touche pour repousser un ennemi décide enfin de fonctionner. En somme, malgré une volonté de proposer des affrontements viscéraux, il y a une myriade d’éléments de gameplay maladroits ou pas fonctionnels qui plombent l’intérêt des combats.

À noter également que les déplacements paraissent parfois moins fluides que dans l’opus précédent. À plusieurs moments, sans que l’on sache pourquoi, une certaine latence se fait ressentir qui nous fait faire n’importe quoi : rater une bordure, sauter par-dessus un obstacle au lieu de glisser dessous, etc. Il y a aussi un manque de précision qui fait qu’escalader un élément trop petit et se percher dessus sera une tâche bien difficile. Un comble pour une licence tournée en grande partie vers le parkour et ses mouvements liant agilité et rapidité. De quoi bien gâcher ce qui composait les rares moments grisants du jeu.

Dying Light 2 Test

Du reste, les ennemis humains ne brillent pas vraiment par leur intelligence et vous trouverez moult moyens de les piéger. Une fois que vous obtenez une arbalète ou un arc, vous leur roulerez dessus sans problème, même en difficulté maximum. Bon et puis les zombies, beh c’est des zombies quoi. Ou des vampires peut-être ? Car on nous explique très tôt que ces derniers fuient la lumière du jour, on nous procure d’ailleurs une lampe UV. On remarque effectivement que les infectés se cachent du soleil dans les bâtiments la journée. Enfin, pas tous, ça dépend. De quoi ? On ne saura jamais. C’est surtout l’occasion de découvrir l’une des nombreuses mécaniques inutiles et complètement survolées par les développeurs. Comme ce pastiche de GTFO, où vous explorez parfois des lieux où les zombies sont assoupis — il y a même une jauge de « réveil » indiquant votre niveau de discrétion. Il est alors possible de se faufiler derrière eux pour effectuer une exécution furtive. En réalité, les zombies sont tellement inoffensifs, qu’on a tôt fait de foncer dans le tas armé de notre arme tranchante. Oui, car au bout de la quinzième mission me demandant d’exécuter une trentaine d’infectés endormis, j’ai fini par lâcher l’affaire avec « l’infiltration ».

D’ailleurs, vous risquez de lâcher l’affaire sur pas mal d’autres points tellement Dying Light 2 est répétitif et bâclé. Comme dans tout mauvais monde ouvert qui se respecte, à vous les missions secondaires copiées-collées, les moulins à escalader pour débloquer des safe zones, les ressources à récolter dans l’une des six zones de quarantaine du GRE ou la vingtaine de bâtiments barricadés, etc. À deux doigts du looter shooter générique, ces ressources vous permettront d’améliorer vos armes avec des dégâts élémentaires. Ou de débloquer des compétences comme le sprint ou la glissade. Oui, vous avez bien lu, Dying Light 2 bloque des aptitudes aussi basiques derrière un arbre de compétence. Bien que cette mécanique était déjà présente dans le premier Dying Light, on s’en serait bien passé. Devoir se farcir plusieurs heures de jeu avant de glisser et de sprinter est pour le moins étonnant dans un titre axé principalement sur le mouvement !

Dying Light 2 Crack

Bad Brain

Il y aurait encore beaucoup de choses à redire sur Dying Light 2. Les personnages qui, sans être aussi caricaturaux que dans Far Cry, ne sont pas particulièrement bien écris non plus. Sans parler du doublage français et des traductions plus qu’approximatives qui n’aident pas à ressentir de l’empathie pour les protagonistes. Le scénario est d’ailleurs très indigeste, avec une ribambelle de rôles fades et tellement d’intrigues interconnectées qu’on finit par s’y perdre. Manque de pot, c’est là-dessus que semblait reposer les fameux « choix qui auront des conséquences ». Résultat, s’ils ont effectivement un impact réel sur l’histoire, pour vous, simple joueur qui n’arrive pas à s’impliquer, il n’y aura pas vraiment de conséquences sur le gameplay. Par exemple, il est possible de débloquer, ou non, un petit quartier englouti, mais ça ne chamboulera pas votre expérience.

Un mot sur le mode coop :

Possible jusqu’à 4 joueurs, le mode coop n’apporte strictement rien de plus au jeu de base. Le level design ne pousse pas spécialement à la coopération et la difficulté ne s’adapte même pas au nombre de participants ! Au mieux, cela vous permettra juste de terminer ce calvaire plus vite !

Ce sont les châteaux d’eau et autres centrales électriques — qui réservent d’ailleurs quelques énigmes et moments d’exploration assez sympathiques, que vous assignerez à telle ou telle faction et qui modifieront ainsi davantage la carte et donc votre partie. Choisissez les Pacificateurs et la ville sera dotée de matériel en tout genre pour piéger ou tuer les infectés : canons à lame, lanternes molotovs, etc. Optez pour les Survivants et la carte sera agrémentée d’équipements orientés parkour comme des sacs d’atterrissages pour amortir vos chutes, des tyroliennes, etc. Pas de quoi transformer radicalement votre aventure, donc. D’autant plus que ces changements n’apparaîtront que dans les quartiers contrôlés par ladite faction.

Dying Light 2 Folie

Enfin, pour couronner le tout, Dying Light 2 est entaché par de nombreux problèmes techniques. Si le jeu tourne impeccablement à plus de 60 FPS avec toutes les options à fond en WQHD sur un i9-9900K, une 2080 Ti et 32GB de RAM, il y a tout de même fréquemment des problèmes de scripts qui ne se lancent pas, d’artefacts visuels, etc. Vous trouverez aussi des infectés qui surgissent de nulle part, des murs invisibles, des PNJ bloqués dans le décor, etc.

Conclusion

On ne demandait pas grand-chose à cette suite de Dying Light. Mais les développeurs ont visiblement vu trop grand, en même temps qu’ils ont pioché dans le sac à mauvaises idées des mondes ouverts quelconques. Ça aurait pu donner une expérience passable si le jeu n’avait pas en plus été agrémenté de bugs et de problèmes techniques en tout genre. À 60€ la copie, c’est tout bonnement inacceptable. À moins de 20€ et si les développeurs se mettent à la tâche, Dying Light 2 se transformera peut-être en expérience moyenne.

Vous avez du mal à vous y retrouver dans le catalogue Steam ? Alors, suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à trier le bon grain de l’ivraie.

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7 Commentaires


  1. Merci pour le test.

    Perso j’adore ( 30 heures actuellement ) mais bien d’accord avec pas mal de points négatifs que le test mentionne.

    à voir mais comme je joue je vais dépasser les 100 heures je pense.

  2. Les critiques sont vraiment curieuses pour ce dying light 2. On a d’un côté les gens qui démontent le jeu et d’autres qui au contraire le trouvent génial.
    Dans les deux camps on retrouve les mêmes défauts donc j’imagine que l’appréciation dépend vraiment de l’importance qu’on accorde aux déficiences mentionnées.

    J’ai passé 25h sur le jeu depuis sa sortie et mon feeling général est que ça fait bien longtemps que j’avais pas autant été pressé la journée de rentrer pour relancer le jeu.
    J’ai du faire 2 ou 3 missions principales après l’introduction et me suis focalisé à découvrir l’ensemble des activités annexes + missions secondaires.

    Niveau gameplay, je trouve que le parkour est ultra bien foutu, c’est le 1 en mieux globalement.
    Les combats sont bien jouissifs, les ennemis sont un peu cons mais pas plus que dans d’autres jeux.
    On sent bien les impacts des coups de mêlée et le démembrement est grisant.
    Le sang est pas mal exagéré mais dans le feu de l’action ça reste cool de voir que ça gicle de partout.

    Le côté vampirique des infectés est un bon ajout je trouve, tout comme la nécessité de gérer son apport d’UV la nuit pour pas se transformer.
    Globalement le gros défaut est le manque de difficulté.
    Les zombies sont effectivement peu dangereux et en mode difficile, on meurt plus souvent à cause d’une chute lors d’un saut mal calculé que pendant un combat. Et la nuit, en évoluant dans l’arbre de compétence, on arrive très tôt à augmenter suffisamment son temps de survie dans le noir pour ne pas à avoir à trop y faire attention (puis le loot est abondant donc à moins de rusher comme un fou sans faire attention, on a toujours suffisamment de quoi crafter ce dont on a besoin le moment voulu).

    La nuit est mieux équilibrée que dans le 1. Moins effrayante aux premiers abords, au stade 3/4 d’une poursuite, on se chie quand même dessus quand les volatiles arrivent dans la course…. Du coup c’est win-win pour moi, si on veut profiter de la nuit sans trop se faire peur on peut, si on veut se donner des coups d’adrénaline, on peut aussi en provoquant facilement la chose.

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    En termes de performance, pour ma part, ça tourne niquel j’ai eu aucun bug ni crash, ni PNJ bloqués ou problème de script.
    Après j’ai la chance d’avoir une 3080 du coup c’est très fluide tout à fond, et même si la distance d’affichage est à pas top à cause des textures qui deviennent franchement dégueulasse passé qqs mètres, l’éclairage est super bien travaillé et offre avec le RTX un rendu de qualité la plupart du temps.
    Les visages sont plutôt bien faits et les animations sont bonnes.
    Suffit de lancer un jeu Ubisoft pour voir qu’on est quand même pas dans le bas du panier…

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    L’écriture n’est pas si catastrophique que le disent certains joueurs, franchement il y a une mini histoire derrière chaque quête annexe que j’ai pu faire et c’est plutôt plaisant.
    Ok les objectifs sont souvent super cons et les dialogues en anglais sont mal « joués » et sont futiles, mais elles ont le mérite d’être écrites et d’exister.
    On est pas non plus sur du fedex à la ubisoft ou aux 500 points d’exclamation à la CD project. ET dying light 1 faisait pire dans le genre.
    Encore une fois si on compare aux autres open world sortis dernièrement, Techland n’est pas du tout à la ramasse. Il y a même certaines quêtes secondaires qui ont des liens étroits avec la trame principale qui ajout de la cohérence au tout.

    Le marketing était peut-être un peu foireux puisqu’ils ont surtout vendu du rêve sur le scénario et les embranchements résultant de choix à faire pendant l’aventure (là dessus j’ai pas encore assez avancé pour juger, mais c’est ce que critique la plupart des gens à priori).
    Par contre, la boucle de gameplay parkour / combat / game design est quand même bien maîtrisée, jouissive et plutôt addictive.

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    Du coup je m’attendais pas à grand-chose et c’est peut-être ça qui fait que je prends autant mon pied sur le jeu.
    Le 1 était très cool mais n’inventait rien non plus à part réussir à associer un gameplay mêlant parkour et combat.

  3. Pour ma part :

    Vous avez joué et avez apprécié Dying Light 1 et en voulez plus ? Jouez-y, y a pas de raison que vous n’aimiez pas. Les défauts du 2 sont exactement les mêmes que ceux du 1. Les combats plus intéressants.

    Vous avez joué et n’avez pas vraiment apprécié Dying Light 2 ? N’y jouez-pas, le jeu n’apporte rien de plus qui justifierait de passer à la caisse.

    Vous n’avez pas joué à Dying Light 1 ? Allez-y, les mécaniques (parkour, jour/nuit) de jeux sont rafraîchissantes et satisfaisantes par rapport à à peu près tous les autres FPS de zombies mais n’attendez rien de plus qu’un énième jeu en open-world, maîtrisé ceci dit.

    Quant aux bugs problématiques, ils sont apparemment surtout présents quand le coop est actif. J’en ai rencontré quelques uns, mais rien à voir avec les bugs qu’on peut retrouvé dans beaucoup de jeux AAA sortis récemment. Techland semble être assez actif et a déjà sorti 2 ou 3 hotfix sur PC, en 10 jours. Les mods sont aussi de la partie : plusieurs bugs sont ainsi déjà corrigés par la communauté (notamment les raccourcis clavier).

    Finalement, le plus gros défaut du jeu c’est la promesse d’avoir un véritable impact sur l’histoire et le monde du jeu, ce qui était censé être la grosse nouveauté du jeu. C’est bien là, mais l’impact n’est pas aussi pertinent et intéressant que ça. L’histoire est du niveau de Dying Light 1 : c’est du nanar qui se prend au sérieux. Certaines quêtes secondaires valent cependant le détour.

    Je ne comprends pas trop la tentative de rabaisser le jeu en le comparant à GTFO.

  4. Vous n’avez à priori pas était embêté par Aiden le maltraité, à priori bien qu’on massacre zombies et humains en masse dans le monde ouvert, dans les cinématiques c’est Aiden qui se fait taper dessus et qui tombe sombre souvent dans l’inconscience (et c’est pas à cause de la binouze locale).

    Comme tout bon jeux AAA, ça se prend à moitié prix minimum, voir 20€ environ après 1 an de service (il y a bien des exceptions qui ne veulent jamais baisser, il suffit de les ignorer pendant quelques années ^^’ )

  5. Pour moi, c’est simplement le 1 en mieux sans non plus le révolutionner. Donc ayant apprécié le 1er opus, je passe un très bon moment sur ce 2e opus.

  6. J’ai vu une vidéo comparative de la démo et du retail. Cela fait de la peine d’avoir toujours une présentation du jeu qui n’est pas représentative de la version finale. Surtout que l’on peu constater une grosse différence dans le mauvais sens.

    Je vais attendre un peu voir si des mods sortent pour améliorer l’esthétique du jeu. Puis ma machine vieillit ^^.

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