On l’avait découvert en avril dernier avec une vidéo de présentation qui saccadait atrocement, NEO BERLIN 2087 nous propose un nouveau trailer pour nous parler un peu plus en détail de son histoire. Et si les saccades semblent avoir disparu, tout est maintenant noyé dans un flou horrible, sans doute la seule solution pour faire fonctionner le jeu sur le matériel cible : la PlayStation 5. C’est bien beau d’utiliser l’Unreal 5 et sans doute les toutes dernières technologies de rendu de la lumière, mais ça ne se fait pas sans coût en ressources…
Pour rappel, les développeurs annoncent que le jeu sera un pot-pourri de plein de gameplay différents, tels que l’enquête, le RPG et évidemment le shoot à la 3ème ou 1ère personne. Mais on ne voit pas vraiment ça comme une bonne nouvelle, car comme on dit chez nous, qui trop embrasse mal étreint… Il faut dire aussi que la direction artistique sans âme et les ennemis moins charismatiques que des mannequins d’essai de choc, ne nous encouragent pas vraiment à nous intéresser au projet. D’autant plus qu’il semble avant tout développé pour la console de Sony, donc avec des besoins et des cibles parfois éloignés de ceux de la PC Master Race.
NEO BERLIN 2087 est prévu pour 2024 et dispose tout de même d’une page Steam, depuis laquelle vous pouvez l’ajouter dans votre liste de souhaits, si vous n’avez que ça à faire.
Si ça sort en 2087 cette merveille, j’ai largement l’temps… De claquer.
Blague à part, j’aime bien la DA. Si, si, vraiment.
Bon, sur certains passages du trailer, ça fait un peu trop éclairé à mon goût, mais avec ces côtés Cyberpunk, Blade Runner, Elysium, Deus Ex, on peut dire qu’ils ont bien pomp…
Bossé ! Bossé ! Ils ont bien bossé !
Par contre, même moi je le sais, le monologue du héros pour expliquer le contexte, ça se fait pas, c’est interdit quand tu scénarises. Grossière erreur et pas encourageante pour le reste du contenu.
Le premier scénariste ciné venu, avec un peu de bouteille, te le dit qu’il faut jamais faire ça.
Ou alors t’as Robert Redford dans les 3 jours du Condor, qui doit être une des rare exception à la règle, si ce n’est pas la seule.
+1 Pour le monologue, c’est pas pour rien que l’idée a été abandonnée pour le premier film Blade runner.
Le projet à l’air ambitieux, peut-être trop, même si apparemment il reçoit également des fonds du gouvernement allemand, j’ai un peu l’impression de voir une jolie coquille vide (mais je peux me tromper).
Fun fact: Le protagoniste principal de la video, le « special investigator Nolan », ressemble à s’y méprendre à Ivan Mirkovikj, le CEO / Game & Art Director / Lead Game Designer d’Elysium Game Studio, qui développe et publie le jeu.
Et concernant son pedigree, il aurait précédemment bossé sur un jeu développé par 8 personnes seulement, intitulé « Past Cure » (à moins d’avoir un homonyme qui bosse également dans le même secteur, mais ce serait vraiment pas de bol) et dont le protagoniste principal est également un quasi-sosie de catégorie 4.
https://store.steampowered.com/app/646050/Past_Cure/
https://www.youtube.com/results?search_query=past+cure+2018+video+game
Pour ceux qui ne se lassent pas d’admirer la plastique irréprochable de cet esthète du jeu vidéo:
https://www.xing.com/profile/Ivan_Mirkovikj2
Chacun se fera son idée.
Affaire à suivre…
Ben tu sais quoi, je crois que ce serait pas la première fois.
Tu te souviens de Maxime Beland ?
Le directeur « créatif » qui officiellement a démissionné d’Ubisoft à cause des histoires d’harcèlements…
(Officieusement ils l’ont fait dégager, il était bien pote avec Tommy François, parait-il)
Le type a bossé sur Splinter Cell Conviction et Splinter Cell Blacklist.
Je le soupçonne, encore à ce jour, d’avoir donné à Sam Fisher des faux airs de lui-même.
https://cdn-uploads.gameblog.fr/images/actu/full/91443_gb_news.jpg
(J’ai pas pu mettre le lien de la photo la plus évidente)
https://cdn.akamai.steamstatic.com/steam/apps/33229/capsule_616x353.jpg?t=1691513179
https://assetsio.reedpopcdn.com/Splinter-Cell-Sam-Fisher.jpg
Ce qui appuierait ma thèse des egos surdimensionnés dans ce milieu.
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