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Les FPS dont personne ne parle mais sortis cette semaine #72

Chaque semaine ou presque, je vous propose de faire un récapitulatif des FPS sortis dont personne ne parle et ne parlera pour leur offrir un peu de lumière grâce à la notoriété internationale de NoFrag.

  • I’mitation The Eight Suicide Note, sorti le 19 avril. Page Steam.

Une sorte de mélange entre Slender et Outlast, avec une petite dose de Mirror’s Edge pour le côté parkour. Le principe est plutôt simple : récupérer 8 notes de suicide sans vous faire attraper par je ne sais trop quoi. Pourquoi des notes de suicide ? Probablement pour plaire à la presse qui traite du jeu indé. Car, sous cette couche de gameplay ennuyeux sans originalité, se cache en réalité une critique profonde de la société occidentale et du marché du travail. Cela mérite probablement un post sur Twitter.

Si Ubisoft décidait de faire un rétro-FPS, c’est comme ça que je l’imagine. C’est tout mignon, on dirait un dessin animé et il y a déjà des microtransactions.

Un FPS au tour par tour dans de toutes petites arènes. Entre chaque round, vous pouvez modifier la configuration de la carte pour l’aspect stratégie. Notez qu’en dehors de rajouter une plate-forme par ici, ou d’en retirer une par là, c’est pas la folie non plus.

Une sorte de Garry’s Mod. Voilà, si votre truc c’est de jouer avec des corps inanimés, vous avez le choix entre acheter Mod and Play ou faire un tour dans la morgue la plus proche de votre domicile.

Le jeu d’horreur classique : un monstre et des clés à récupérer pour s’échapper. Le jeu est un bon moyen de réviser votre anatomie humaine vu que la bestiole n’est rien d’autre qu’un être humain sans peau. Si vous avez du mal à répondre au Trivial Poursuit lorsqu’on vous demande où est situé le muscle couturier : c’est pour vous !

Dans la catégorie « L’académie française réalise son simulateur de marche pour les journalistes qui n’aiment pas les jeux difficiles« , je vous présente The Shattering. Si vous n’êtes pas convaincu, voici la présentation de l’histoire :

« Dans The Shattering, il n’y a pas de condition d’échec ni de puzzle compliqués. La jouabilité a été pensée afin de vous immerger dans l’esprit de John, vous permettant d’avancer petit à petit dans ce mystère torturé. Des musiques sereines et chargées d’émotion donnent vie à chaque moment, pendant que le visuel tout autour de vous se modifie petit à petit. »

  • No one lives under the lighthouse, sorti le 21 avril. Page Steam.

Un autre jeu d’horreur façon Playstation 1 qui se déroule dans un phare. Attention, je ne dis pas que c’est un jeu phare, mais je préfère allumer le gyrophare pour vous prévenir que c’est ennuyeux. Ce n’est pas pour rien qu’il y a Phare dans Far Cry.

Si vous avez peur des poupées et des chaises qui tournent, attention à votre petit cœur.

Un simulateur de destruction de magasin. Le jeu idéal si vous avez toujours rêver de démolir le rayon œufs et farines de Carrefour, puis de vous rouler dans la pâte en criant « Regarde maman, je suis un muffin ».

Sans commentaire.

Enfin un FPS sur le coronavirus !

Une tower defense version FPS avec l’ensemble des monstres, des armes et des textures qu’il était possible de récupérer gratuitement sur le magasin du Unity.

Une véritable leçon d’animation pour les autres FPS. Enfin un jeu qui représente les gens aux mains beaucoup trop grosses, et aux bras beaucoup trop longs.

  • Cyberception, sorti le 24 avril. Page Steam.

Un rétro-FPS façon cyberpunk. Je dirais que c’est une Cyber..déception !

Les autres simulateurs de marche/horreur de la semaine dont j’ai eu la flemme d’écrire un truc :

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