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Metro Exodus sera plus grand que ses aînés

C’est dans un article publié dans le Playstation Magazine UK n°145 que Jon Bloch, producteur de Metro Exodus, a donné plus de précisions sur le jeu. On y a apprend notamment que les différentes zones qu’Artyom arpentera dans ce volet seront parfois similaires au Moscou post-apocalyptique présent dans les précédents épisodes et qu’elles seront d’autres fois complètement originales, la vie ayant suivi son cours différemment. De nouvelles sociétés, religions, façons de vivre, ainsi que de nouveaux monstres et autres mutants rempliront les lieux. Quoi qu’il en soit, ces différentes villes, toutes d’une taille de 3 ou 4 km² (plus grosses que n’importe quelle map réalisée par 4A Games jusque là), seront des bacs-à-sable, explorables à la volonté du joueur et chacune contiendra ses dangers et ses objectifs propres, ainsi bien sûr qu’un réseau de métro permettant au joueur de profiter des corridors lugubres et oppressants chers à la licence.

L’auteur du bouquin originel, Dmitry Glukhovsky, est une fois encore de la partie, rédigeant une histoire totalement originale faisant suite aux péripéties de Metro 2033, Last Light et de son dernier livre Metro 2035. Il promet un script beaucoup plus complexe et plus épais que la somme des deux précédents volets. En effet, Artyom pourra interagir avec les résidents des différentes villes, avec des choix de dialogues pouvant transformer de potentiels alliés en ennemis. En plus de ça, l’environnement aura son importance puisque la météo et le cycle jour/nuit aura une influence sur votre visibilité et sur le nombre d’ennemis par exemple. Le but avoué du studio est « d’offrir plus de liberté et d’options au joueur, tout en gardant ce qui rendait nos précédents jeux aussi appréciables ».

Si la date de sortie officielle du jeu est un vague « 2018 », l’article du Playstation Magazine annonce la disponibilité du jeu en Août, ce qui confirmerait certaines rumeurs persistantes.

Rutabaga: Élevé au bon grain des FPS de l’âge d’or, si Rutabaga adore particulièrement TUER TUER TUER à coups de rocket launcher et autres akimbo de fusils à pompe, il n’est toutefois pas insensible à une bonne épopée solo bien scénarisée.
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