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Graven : une grosse mise à jour et un mode coop’ pour le rétro FPS

Graven, le rétro FPS médiéval fantastique sorti en accès anticipé il y a presque un an (voir notre preview), se voit doté d’une mise à jour majeure. Celle-ci, annoncée en août dernier, apporte notamment du contenu supplémentaire, de nouvelles mécaniques de jeu ainsi que le très attendu mode coop’.

Ce dernier n’est disponible que via Steam et permet à 8 joueurs d’affronter les forces du mal. Les développeurs conseillent tout de même de limiter la coop’ à 4 joueurs maximum et indiquent que si le mode leur parait amusant en l’état, il est encore en phase expérimentale. Autrement dit, attendez-vous à plein de bugs et de crashs. Mais avant que vous ne commenciez à vous plaindre, dites-vous que c’est à ça que sert un accès anticipé : essuyer les plâtres.

Par ailleurs, la mise à jour ajoute également pas mal de contenu. Ainsi, vous trouverez désormais 5 nouveaux ennemis (dont un miniboss), deux zones inédites à explorer – les Archives de Cruxfirth et la tourbière de la Maison Noire, une nouvelle arme, un PNJ marchand, un nouveau type de potion… Au niveau des mécaniques de jeu, Graven intègre désormais des améliorations pour les armes et les sorts, ainsi qu’un système d’armure. De plus, de nouveaux éléments interactifs font leur apparition dans les environnements : pièges, boutons, etc.

À cela s’ajoutent de nombreux bugfixes et ajustements détaillés sur la page du changelog. Notamment, les monstres ne seront plus repoussés au moindre coup, et ont désormais des points faibles ainsi qu’une résistance différente pour chaque type de dégâts. Aussi, les maps déjà présentes dans l’EA ont été retravaillées, que ce soit au niveau du placement des monstres, des énigmes, des objets, etc.

Bref, après une arrivée en accès anticipé décevante, les développeurs de Graven semblent bien décidés à corriger le tir pour faire de leur rétro FPS un excellent titre – et c’est tant mieux. Rappelons qu’une roadmap avait été publiée, et que celle-ci a visiblement pris beaucoup de retard.

Rutabaga: Élevé au bon grain des FPS de l’âge d’or, si Rutabaga adore particulièrement TUER TUER TUER à coups de rocket launcher et autres akimbo de fusils à pompe, il n’est toutefois pas insensible à une bonne épopée solo bien scénarisée.
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