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Contraband Police, presque comme un Paper Please en FPS

Contraband Police est le nouveau venu de la fabrique à jeux cassés polonaise, Play Way. Après la simulation de SDF ou d’officier à la chaise électrique en milieu carcéral, aujourd’hui c’est la version finale du simulateur de douanier qui arrive sur Steam. La proposition de départ fait forcément énormément penser à l’iconique Paper Please, puisqu’il s’agit de contrôler les papiers d’identité des visiteurs voulant entrer dans la région de Karikatka. Faute d’orthographe sur le nom de famille, date de validité de la carte d’identité périmée ou numéro de passeport qui ne correspond pas et vous pourrez tamponner un bon gros DENIED sur les papiers du visiteur !

Là où se démarque Contraband Police, c’est qu’il remplace tout l’aspect scénaristique et moral de Paper Please par une composante gestion de poste de douane dans un monde à peu près ouvert. Ainsi, à pied et en vue FPS, vous pouvez faire le tour du véhicule pour dénicher d’éventuelles cachettes dissimulant des produits de contrebande. Vous devez mettre en cellule les coupables et, plus tard, les emmener vous-même au poste de contrôle dans votre beau camion de police. Si vous avez un doute, sortez la marchandise et examinez là à la lampe à UV ! Parfois, des brigands n’hésitent pas à foncer dans la barrière et à fuir, pied au plancher. C’est le moment de foncer dans votre véhicule, gyrophare à fond, et de poursuivre cette fripouille ! La démo, toujours disponible gratuitement sur Steam, se termine même par un affrontement à l’arme à feu contre des contrebandiers.

Attendez, attendez, ne vous emballez pas trop vite ! Rangez votre matraque, fermez cette braguette et brûlez-moi ce foutu portrait de Zemmour. Car, malheureusement, dans Contraband Police il faut aussi faire avec des graphismes d’un autre temps, des mécaniques pas très bien rodées et des déplacements rouillés. Pensez à une sorte de version Wish de GTA. Une version Wish à 20€ quand même.

Fcp: La légende dit qu’il était là avant même la création de Nofrag. Personne ne le connait vraiment. C’est un peu notre maman.
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