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World War 3 arrive en Early Access… ou pas.

Vous pouvez découvrir ci-dessus le trailer célébrant l’arrivée en early access de World War 3, le Battlefield-like de The Farm 51. La vidéo est toutefois moins intéressante que le récit de la parution du jeu sur Steam.

En effet, la sortie en accès anticipé de World War 3 n’est pas de tout repos : elle s’est bel et bien déroulée hier, comme prévu, mais est entachée par de gros problèmes techniques. En premier lieu, les développeurs ont été obligés de décaler la publication du jeu sur Steam suite à des soucis non-précisés.

Puis, alors que World War 3 apparaissait enfin sur le catalogue, les acheteurs se retrouvèrent face des problèmes de connexions : ils étaient bloqués devant un écran de chargement infini, obligeant The Farm 51 à publier une mise à jour en urgence…

Malheureusement pour eux, le patch ne fut pas salvateur et nombreux sont les joueurs encore coincés devant ce .JPG sur lequel on peut voir le message, presque sarcastique, Connecting to the WW3 network. Heureusement, l’Humain a cela de merveilleux qu’il trouvera toujours un moyen pour surmonter les épreuves de la vie : ici, les joueurs se sont mis à se prendre en photo pointant une arme vers le maudit écran de chargement, trouvant ainsi une façon ludique de profiter d’un jeu qui n’est, au final, qu’une image fixe.

Face à la grogne sur les réseaux sociaux et aux critiques négatives qui commencent à pulluler sur la page Steam du jeu, les développeurs se sont fendus d’un communiqué sur le Discord officiel de la communauté.

Je vous la fais courte : le message est digne du discours du président US dans Independance Day et demande en gros de se serrer les coudes derrière les devs qui font tout leur possible pour que les joueurs en aient pour leur argent. En attendant, le lancement du jeu est tout bonnement catastrophique. Ce qui est dommage car, d’après Nounoursss qui a pu tester la beta fermée de WW3 : « Le jeu est sympa et m’a beaucoup rappelé mes heures sur Battlefield 3« .

Rutabaga: Élevé au bon grain des FPS de l’âge d’or, si Rutabaga adore particulièrement TUER TUER TUER à coups de rocket launcher et autres akimbo de fusils à pompe, il n’est toutefois pas insensible à une bonne épopée solo bien scénarisée.
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