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Way of the Hunter : un nouveau trailer en Transylvanie pour les amoureux de la nature

Lorsque le temps y est propice, il n’y a rien de plus agréable qu’une balade en forêt. Sans se presser, on s’enfonce dans la sylve, accompagné seulement par le bruit de nos pas sur le parterre herbeux et par le chant des oiseaux. Si l’on est suffisamment discret, on peut alors croiser, au détour d’un bosquet, le chemin d’un renard ou d’un écureuil. La créature, surprise mais curieuse, nous observe et, tandis que nos regards se croisent, le temps semble ralentir, puis s’arrêter. Une connexion s’opère et la vérité toute entière s’offre à nous : l’animal et l’homme font partie d’un tout, d’un ensemble de vies liées les unes aux autres par les règles de la nature. C’est à cet instant précis qu’on épaule notre carabine et qu’on lui tire une balle dans la tête, avant d’apporter la carcasse encore chaude à nos copains rieurs qui nous attendent plus loin : il est l’heure d’aller se coller une bouteille de pif dans le gosier pour fêter ça ! Après tout, l’amour de la nature, ça donne soif.

Si vous aussi vous avez envie de vivre ce parfait moment d’harmonie écologique avec vos potes sans toutefois prendre le risque de vous salir en sortant de chez vous, alors Way of the Hunter, annoncé il y a quelques mois, semble être la solution idéale. Les développeurs ont publié un nouveau trailer avec une musique inspirante dans laquelle on voit divers bestioles (cerfs, loups, sangliers, lièvres…) gambader et paître paisiblement dans les environnements forestiers de la Transylvanie. Heureusement que vous êtes là pour réguler tout ça :

Avec ses vastes territoires en monde ouvert, son multijoueur en coop’, ses dizaines d’espèces animales à abattre réguler, sa balistique réaliste et son équipement authentique, Way of the Hunter devrait assouvir vos fantasmes de massacre éthique d’animaux sans défense. Enfin, ça, c’est si il tient ses promesses : pour le moment, on n’a vu aucune véritable image de gameplay du jeu, qui sortira le 16 août sur Steam à 40€.

Rutabaga: Élevé au bon grain des FPS de l’âge d’or, si Rutabaga adore particulièrement TUER TUER TUER à coups de rocket launcher et autres akimbo de fusils à pompe, il n’est toutefois pas insensible à une bonne épopée solo bien scénarisée.
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