X

VR : améliorez la netteté de l’image sans perte de performance avec le Nvidia VRSS

Les possesseurs d’une carte Nvidia RTX et d’un casque de réalité virtuelle seront ravis d’apprendre que le dernier driver Geforce (441.87) propose une nouvelle fonctionnalité intitulée VRSS – pour Variable Rate Super Sampling. Cette dernière offre une amélioration de la netteté en affichant la partie centrale de l’image (où sont focalisés vos yeux) à une plus haute résolution. Le VRSS est, de plus, adaptatif et ne s’active que lorsque votre ordinateur supporte la charge de travail supplémentaire, garantissant ainsi un framerate fluide. Autrement dit, vous ne risquez donc pas de vomir partout à cause de lui.

Bon, ok, les exemples montrés ci-dessus ne sont pas toujours incroyables, mais on ne va pas se plaindre : la moindre amélioration est bonne à prendre, pas vrai ? Pour l’instant, seuls 24 jeux VR sont compatibles avec le VRSS mais la liste devrait s’agrandir avec le temps :

  • Battlewake
  • Boneworks
  • Eternity Warriors VR
  • Hot Dogs, Horseshoes and Hand Grenades
  • In Death
  • Job Simulator
  • Killing Floor: Incursion
  • L.A. Noire: The VR Case Files
  • Lone Echo
  • Mercenary 2: Silicon Rising
  • Pavlov VR
  • Raw Data
  • Rec Room
  • Rick and Morty: Virtual Rick-ality
  • Robo Recall
  • Sairento VR
  • Serious Sam VR: The Last Hope
  • Skeet: VR Target Shooting
  • Space Pirate Trainer
  • Special Force VR: Infinity War
  • Spiderman: Far from Home
  • Spiderman: Homecoming – Virtual Reality Experience
  • Talos Principle VR
  • The Soulkeeper VR

Activer le VRSS se fait manuellement pour chacun des jeux. Il vous faudra donc tout d’abord télécharger le dernier driver Geforce (441.87) puis vous rendre sur le panneau de configuration Nvidia. Dans l’onglet « Gérer les paramètres 3D », cliquez sur paramètres de programme et sélectionnez le jeu (ici, Boneworks). Sélectionnez ensuite la ligne « Réalité Virtuelle – Super-échantillonnage à taux variable » et réglez le paramètre en « Adaptif ».

Rutabaga: Élevé au bon grain des FPS de l’âge d’or, si Rutabaga adore particulièrement TUER TUER TUER à coups de rocket launcher et autres akimbo de fusils à pompe, il n’est toutefois pas insensible à une bonne épopée solo bien scénarisée.
Articles liés