Si la plupart des joueurs de PUBG vagabondent sur le serveur de test à la découverte des vallées désertiques de Miramar sans nécessairement se reluquer l’entrejambe, les plus attentifs ont relevé un détail sur le modèle 3D des personnages féminins. Un stagiaire bourré aurait vraisemblablement profité des dernières mises à jour pour décorer l’entrejambe des femmes d’un discret camel-toe. Certains argueront sûrement en la faveur de cet artiste de génie (le geste est en parfait accord avec la nouvelle ambiance désertique), mais l’ajout n’est apparemment pas du goût de Brendan Greene qui s’est exprimé après avoir été mentionné sur Twitter :
Le fichier original aurait été réalisé par un artiste externe au studio, qui travaillait donc sous contrat il y a plus de deux ans. Personne n’a rien remarqué depuis. On imagine le coupable, jubilant d’impatience, attendre que sa création soit implémentée depuis plus de 24 mois. Malheureusement pour lui, l’équipe du jeu a déjà prévu de corriger ce méfait dans un prochain patch.
Entre trois commentaires d’andouilles sur Reddit, se pose toutefois la question de la sexualisation des avatars dans les jeux vidéo. Comment marquer correctement les différences entre deux modèles 3D de sexe opposé, sans tomber dans le cliché ou la vulgarité ? Peut-être devrait-on poser la question à certains studios japonais, ou à la personne qui s’est levée un matin en se disant que Conan Exiles se vendrait mieux si le moteur physique gérait le ballotement des zigouigouis.