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TUROK : nos impressions

On craignait un peu le pire pour TUROK : remplacer l’indien américain d’origine par un marine nommé John Turok, comment dire… Mais bref, ce qu’on en a vu à Leipzig était un peu rassurant, sans pour autant annoncer une merveille, loin de là : le jeu s’annonce comme un FPS console assez classique et bourrin, avec une très forte mise en scène (les frags au couteau donnent lieu à une cinématique, par exemple).

Les combats ne semblent pas passionnants, même si le mélange d’ennemis humains et de dinos (qui mangent tant les gentils que les méchants) est plus original que la moyenne. Il y a tout de même quelques armes qui sortent du lot, comme un bien joli lance-flammes ou le bon vieil arc de Turok, au maniement peu banal : si l’on prend le temps de bien tendre la corde, on peut décocher une flèche surpuissante… mais on peut aussi décocher des myriades de flèches rapides mais moins puissantes.

Les monstres du jeu sont parfois assez énormes, mais ils sont surtout très bien animés. Ca plus des graphismes corrects (l’eau est très belle, le reste plus commun), ça en jette un peu. Reste que ça ne sort pour l’instant que sur Xbox 360 et PlayStation 3 (même si une version PC n’est pas définitivement exclue), ce qui implique un gameplay pas super intense.


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