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Quake Champions, mise à jour de décembre : départ des lootboxes et retour du CTF

La mise à jour de Quake Champions arrivant le 20 décembre (si l’on en croit cette image) va complètement modifier le système de récompense du jeu : exit les objets obtenus de façon aléatoire dans des sacs à dos et bienvenue aux saisons, au Battle Pass et un nouveau système de progression basé sur l’accomplissement de défis. La team NoFrag s’est posé, whisky et clopes à la main, autour de l’énigmatique communiqué officiel pour pouvoir décrypter ce que prévoyaient les développeurs :

La rédaction de NoFrag en pleine réflexion devant le communiqué officiel

Il semblerait que le nouveau système de progression soit basé sur des défis quotidiens et hebdomadaires à compléter en jeu. Ceux-ci vous permettront de gagner des points d’expérience ainsi que des éclats qui serviront à débloquer de façon linéaire des cosmétiques pour le champion de votre choix : exit donc le loot d’objets aléatoire qui vous fait gagner une nouvelle coupe de cheveux pour ce tocard d’Anarki que vous ne jouez jamais. Les runes et les parchemins de lore seront également directement intégrés dans le système de progression linéaire.

Comme il faut quand même gagner des sous, un système de Battle Pass payant vous permettant à la fois d’évoluer plus rapidement et de gagner des cosmétiques exclusifs  en vous proposant des défis supplémentaires (contenu modifié à chaque changement de Saison, tous les trois mois) sera également mis en place. Que ceux qui, comme moi, ont gardé des stocks en réserve se rassurent : même si les sacs à dos ne pourront plus être gagnés avec cette mise à jour, vous pourrez toujours ouvrir ceux que vous possédez déjà.

Enfin, dernier point mais non des moindres, la mise à jour de décembre célébrera aussi le grand retour du fameux Capture The Flag, accompagné par une carte spécialement dédiée à ce mode : Citadel. Je sens que ça va faire des heureux.

Quake Champions est disponible en accès anticipé sur Steam et Bethesda.net et vous pouvez découvrir ce qu’on en pense ici.

Rutabaga: Élevé au bon grain des FPS de l’âge d’or, si Rutabaga adore particulièrement TUER TUER TUER à coups de rocket launcher et autres akimbo de fusils à pompe, il n’est toutefois pas insensible à une bonne épopée solo bien scénarisée.
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