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Islands of Nyne bouge encore

Define Human Studio, les développeurs du peu convaincant Battle Royale Islands of Nyne, se sont fendus d’un long communiqué optimiste afin de vous rassurer : non, le fait que le nombre de joueurs a tellement baissé qu’il soit probable qu’on ne puisse bientôt plus lancer la moindre partie ne signifie pas la mort du jeu ! Au contraire, grâce à toute l’attention qu’ils ont reçu lors de la sortie d’IoN en Early Access, les développeurs vous assurent que leur « futur semble aussi brillant que jamais ». Comme quoi, il n’y a pas que les gros studios qui maîtrisent l’art ancestral du bullshit et de la langue de bois.

Quoi qu’il en soit, Define Human est conscient qu’il y a un soucis et les développeurs vont tenter de redresser la barre, si tant est que cela soit possible :

  • Arrivée de serveurs personnalisés afin de pouvoir organiser des tournois et des événements communautaires
  • Amélioration du système de « pré-queue » afin de rendre ce moment à la fois plus court et plus fun
  • Mise en place de sessions de tests afin que la communauté puisse découvrir les changements majeurs en avance
  • Mise à disposition de nouveaux gadgets dans le but de créer plus de profondeurs tactiques – le studio reste néanmoins vague sur ce qu’ils font ou même ce à quoi ils ressemblent
  • Nouvelles armes basées sur la technologie alien, pas forcément puissantes mais au gameplay intéressant – toujours pas le moindre détail, à ce demander s’ils bossent vraiment dessus
  • Toujours pas de véhicules
  • Ils continuent de bosser sur la map « Terra Fictus » et annoncent travailler en parallèle sur deux maps résolument aliens. Pas de détail supplémentaire.
  • Addition d’un mode casual, parce que le mode classique est trop hardcore pour les petits  bébés
  • Changement du rythme des parties qui n’est pas satisfaisant : les devs annoncent avoir trouvé un mystérieux système pour l’améliorer, mais ils ne peuvent nous en dire plus (?)
  • Blablabla

Je ne sais pas vous, mais à NoFrag on a bien du mal à rester aussi optimistes que les développeurs.

Rutabaga: Élevé au bon grain des FPS de l’âge d’or, si Rutabaga adore particulièrement TUER TUER TUER à coups de rocket launcher et autres akimbo de fusils à pompe, il n’est toutefois pas insensible à une bonne épopée solo bien scénarisée.
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