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H1Z1 saison 3 : un changement de nom et un retour en arrière

H1Z1 entame sa troisième saison en fanfare avec un nouveau changement de nom : comme prévu, il faudra désormais l’appeler Z1 Battle Royale. Amorcée par une nouvelle équipe de développement, cette nouvelle saison s’accompagne d’un retour à l’âge d’or d’H1Z1 King of the Kill (aux alentours de fin 2016 – début 2017). Interface utilisateur retravaillée, animations et déplacements orientés arcade, capacités des armes revues et corrigées, modifications visuelles (textures, palette de couleurs, éclairages), suppression des points d’intérêts sur la map, sensation de conduite des véhicules modifiée… Tout ou presque a été altéré pour que les joueurs retrouvent le feeling du vieux H1Z1. Un véritable retour en arrière qui voit toutefois quelques nouveautés pointer le bout du nez :

  • Missions : des quêtes optionnelles seront attribuées aux joueurs à chaque partie. Remplir ces objectifs accordera des crédits, des fragments ou des caisses selon la difficulté de la mission.
  • Fragments : un nouveau système permettant de récupérer des crédits in-game ou des caisses. Les fragments se lootent sur les cadavres des joueurs adverses : 20 fragments bleus donnent 100 crédits tandis que 5 fragments rouges seront échangés contre une caisse de loot rare.
  • Défis quotidiens et hebdomadaires : des objectifs optionnels à accomplir pour gagner des crédits in-game et tournant chaque jour ou chaque semaine.
  • Joueurs alliés dans le menu : si vous jouez en escouade, vos copains de chasse apparaîtront directement dans le menu principal, là où il n’y avait auparavant que votre personnage.
  • Nouveau système de calcul de classement : Un nouveau classement, le Ranked Pro, fait son apparition. Cette fois-ci, le score est calculé en fonction du nombre de frags et non de sa position à la fin de la partie. Les détails des calculs se trouvent dans l’annonce.
  • De nouveaux cosmétiques et corrections de bugs que je vous laisse découvrir avec la patch note officielle.
Le bon goût…

 

Rutabaga: Élevé au bon grain des FPS de l’âge d’or, si Rutabaga adore particulièrement TUER TUER TUER à coups de rocket launcher et autres akimbo de fusils à pompe, il n’est toutefois pas insensible à une bonne épopée solo bien scénarisée.
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