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Des nouvelles de Pathologic 2

Ice Pick Lodge, les développeurs russes de Pathologic 2, présentent aujourd’hui l’avancement du projet sur leur site internet à travers un long post au ton cynique. On y apprend notamment que :

  • le système de commerce et de troc est fonctionnel et ne nécessite plus que quelques ajustements économiques
  • la mécanique d’autopsie, permettant au joueur d’étudier et de prélever des organes sur les cadavres, est fonctionnelle mais ils cherchent un moyen de l’expliquer plus clairement
  • le crochetage de serrure n’était, à la base, pas prévu mais un programmeur a développé un prototype simple et axé sur le skill du joueur qui a été intégré dans le jeu
  • le système de guérison de la peste est fonctionnel mais peu clair pour le joueur, ils bossent donc encore sur l’interface
  • le système d’infection n’a pour le moment aucun sens
  • il y a un fusil et il envoie du bois – par contre ils essayent de faire en sorte de ne pas trop frustrer le joueur du fait de la rareté du tromblon
  • les mécaniques de sauvegardes et de chargements sont particulières : la sauvegarde ne pourra être effectuée qu’à certains moments clés précis, afin d’éviter le « save scumming » (en gros, tricher en sauvegardant/chargeant tout le temps). Pour le chargement, ils énoncent deux phrases mystérieuses (« Êtes-vous absolument certain que le chargement d’une sauvegarde retourne dans le temps et efface complètement le malheureux événement de l’histoire du jeu ? Êtes-vous sûr que personne ne s’en souvient ?« ) qui laissent entendre que le jeu se souviendra de vos échecs
  • des rêves lucides, apportant des informations sur le monde ou sur l’histoire principale, seront présents dans le jeu même s’ils travaillent encore dessus

Rappelons que Pathologic 2 était au départ un remake de Pathologic premier du nom et qu’il s’agit d’un FPS/RPG à l’ambiance horrifico-délirante dans un univers en proie à une peste infectieuse et mortelle. Il fait partie de cette fameuse catégorie des meilleurs jeux auxquels personne n’a joué.

 

Rutabaga: Élevé au bon grain des FPS de l’âge d’or, si Rutabaga adore particulièrement TUER TUER TUER à coups de rocket launcher et autres akimbo de fusils à pompe, il n’est toutefois pas insensible à une bonne épopée solo bien scénarisée.
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