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Aujourd’hui, NoFrag fête ses 18 ans

Il y a dix-huit ans jour pour jour, drloser et quelques comparses lançaient NoFrag. Il s’agissait d’un site focalisé sur les FPS allant à contresens de la sphère du journalisme spécialisé jeux vidéo, fade et complaisante. À l’inverse de celle-ci, habituée à recracher des discours prémâchés par les éditeurs et à servir de vitrine au plus offrant, NoFrag proposait un ton unique et acerbe, se laissant le droit d’être parfois bête et méchant, tout en procurant un divertissement dédié à une passion commune aux lecteurs et aux rédacteurs : les jeux de tir violents.

NoFrag en 2001 et déjà une interview de cheater en home

Années après années, le site acquiert une certaine notoriété : NoFrag est un repaire de trolls aigris pécéistes pour les uns, un véritable lieu de communion pour les autres mais ne laisse personne indifférent. Nombreux sont les coups d’éclat à apparaître sur le site durant cet âge d’or. Impossible d’en faire une liste exhaustive mais nous ne pouvons résister à l’envie d’en citer quelques-uns :

NoFrag en 2003
NoFrag en 2006
NoFrag en 2008
NoFrag en 2016

La suite, vous la connaissez probablement : les anciens tauliers décident de passer la main à de nouveaux dirigeants en 2015. Peu à peu, le site voit sa fréquentation chuter et est laissé à l’abandon sans un mot par son propriétaire. Refusant de voir NoFrag dans cet état, drloser décide de former une nouvelle équipe entièrement composée de volontaires et, en janvier 2018, une rédaction ayant fait peau neuve reprend les rênes. Depuis, le site a vu sa fréquentation exploser : ainsi, si 75 000 visiteurs passaient sur NoFrag en décembre 2016 et 55 000 en 2017, décembre 2018 voyait le nombre de vues mensuelles dépasser 192 000. Un véritable succès que nous espérons voir perdurer.

Alors, merci à vous pour votre soutien infaillible, merci à drloser pour ces années de plaisir et bon anniversaire à toute la communauté du site. Longue vie à NoFrag !

Profitons-en pour vous rappeler que vous pouvez soutenir NoFrag en le finançant via la page Patreon ou via la page Paypal car si le site continue son office, c’est grâce à vous !

Rutabaga: Élevé au bon grain des FPS de l’âge d’or, si Rutabaga adore particulièrement TUER TUER TUER à coups de rocket launcher et autres akimbo de fusils à pompe, il n’est toutefois pas insensible à une bonne épopée solo bien scénarisée.
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