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Après la chasse aux bugs, PUBG donne un nouveau souffle à sa monétisation

PUBG n’en finit plus de nous étonner par sa stratégie incompréhensible.

Déjà lorsque son succès battait son plein en 2017, le jeu coréen décidait de s’allier avec le numéro trois du marché des consoles en accordant à la Xbox One une sortie exclusive. Quelques mois plus tard, Fortnite, lui, rajoutait un mode Battle Royale à son TPS quelconque et l’offrait progressivement à l’ensemble des plateformes pour devenir le phénomène mondial des cours de récréation. Ne restait plus qu’à PUBG Corp d’essuyer de chaudes larmes pour s’être fait piquer la couverture médiatique ainsi que des menaces ridicules de procès en l’encontre d’Epic pour finalement renoncer le mois suivant.

Heureusement pour les Coréens, l’exclusivité signée avec Microsoft était temporaire et il se murmure dans les milieux autorisés que PUBG pourrait être disponible sur Playstation 4 dès le mois de décembre. De quoi toucher un potentiel de près de 90 millions de consoleux.


L’opération FIXPUBG annoncée en grandes pompes est normalement terminée : la roadmap de celle-ci s’étendait du mois d’août à la fin octobre. Rappelons que cette opération avait été lancée alors que la grogne des joueurs s’accentuait, bien attisée par le Pass Sanhok payant sorti peu avant. Pas de nouvelle, bonne nouvelle : le jeu est, semble-t-il, officiellement pleinement fonctionnel, doté de serveurs stables (#2) d’un matchmaking tournant comme une horloge suisse et débarrassé du fléau des cheaters grâce à son système de détection infaillible.

Les développeurs peuvent enfin retourner à ce qu’ils préfèrent faire : la création de skins trop cool. Et pendant que Fortnite s’associe avec la NFL, PUBG a décidé de collaborer avec la licence Suicide Squad de DC Comics (dont le film est sorti en 2016 quand même) et tease l’arrivée du Joker et de sa meuf dans une nouvelle vidéo.

Wild_Monkey: Élevé à la dure chez les moines PCistes, son petit nom était Singe Sauvage. Agile du clavier mais pas du tout sociable, il passe son temps à cracher sur les jeux en accès anticipé ou trop mainstream (qu’il achète toutefois plein pot) du fond de son grenier.
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