Si 2018 fut l’année du changement, où tout était à faire pour la nouvelle équipe de NoFrag, 2019 fut celle de la concrétisation. Enfin stabilisée et prenant petit à petit ses propres habitudes, la rédaction a pu revenir aux bonnes vieilles valeurs en recentrant le débat et en ne parlant (presque) que de FPS. Mais cela ne nous a pas empêché de vous proposer des nouveautés : tout d’abord, puisque c’est dans l’air du temps, nous avons recruté une équipe de sympathiques streamers qui animent plusieurs fois par semaine des live sur la chaîne Twitch NoFrag. De la même façon, nous enregistrons de nouveaux formats d’émissions que vous pouvez retrouver en podcast ou sur la chaîne Youtube. Mais surtout, NoFrag a pu investir dans de l’équipement VR et abordera désormais régulièrement les FPS en Réalité Virtuelle. Maintenant, quand on critiquera vos jeux en VR préférés, vous ne pourrez pas dire qu’on ne connait pas ! Finalement, 2019 fut une bien belle année pour le site, appuyant son succès renaissant. Quant aux simulateurs de meurtres, il y en avait un bon paquet à suivre à nos côtés… Alors nous vous proposons, comme chaque année ou presque, un résumé de ces douze derniers mois.

Pour lire nos précédents bilans, rendez-vous en 200220032004200520062007200820092010201120122013201420152016, 2017 et 2018.

Cette année encore, plusieurs centaines de jeux estampillés FPS sont sortis sur Steam. Même si on essaye très fort, notamment avec notre chronique Les FPS dont personne ne parle, il nous est impossible de traiter et de lister toutes les merdouilles à base d’assets flip pondues par le moindre tocard dans son garage. On va donc se focaliser sur les jeux dont NoFrag a parlé cette année, en essayant d’être exhaustif même si on en aura sûrement oubliés, et ils étaient nombreux :

  • 84 FPS arrivés en accès anticipé ou sortis en 1.0 cette année et plus de 50 FPS à venir ont été traité par NoFrag en 2019, portant le total à 134 jeux.
  • Parmi les jeux sortis en 2019, on compte 50 jeux uniquement solo, 23 jeux exclusivement multi et 11 proposant les deux expériences.
  • Dans les jeux publiés en 2019, 16 sont en accès anticipé, 2 sont en alpha/beta fermée et 1 a été annulé.

Bien sûr, un bilan ne serait rien sans une classification au travers de catégories aux noms inspirés :

Le haut du panier des FPS de 2019 :

Mordhau

Notre coup de cœur. On savait déjà en 2018 en jouant à l’alpha fermée que Mordhau serait dans le haut du panier en 2019. Plus qu’un simple Chivalry 1.5, le titre possède un gameplay exigeant avec un système de combat original et dynamique qui apporte une courbe de progression lente. On peut regretter l’absence de carte plus scénarisée, ou quelques abus du système de combat qui pourrait faire fuir les débutants. Néanmoins, Triternion travaille pour corriger ces problèmes même si les mises à jour sont irrégulières. Mordhau mérite son succès.
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Metro Exodus

Le dernier jeu de la saga Metro est aussi le plus ambitieux : contrairement aux opus précédents, il propose cette fois-ci de grandes cartes que le joueur peut explorer librement dans des séquences rappelant parfois la série S.T.A.L.K.E.R. S’il reste, comme ses prédécesseurs, un FPS extrêmement scripté, bavard et truffé de bugs, sa proposition est unique et généreuse en plus d’être visuellement très réussi. Assurément la meilleure aventure solo de l’année.
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Hunt: Showdown

Le dernier FPS multijoueur de Crytek met en scène des chasseurs de monstres dans un bayou de 1895 envahi par des forces démoniaques. En solo, duo ou trio, les joueurs doivent trouver et affronter un boss, tout en survivant aux zombies dirigés par l’IA et à d’autres joueurs-chasseurs ayant le même objectif. Un gameplay prenant, une ambiance horrifique réussie et des effets visuels qui en mettent plein les yeux. Dommage que les mises à jour se limitent presque uniquement à des objets cosmétiques depuis la sortie du jeu.
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Les FPS sympathiques :

Apex Legends

Apex est l’un des seuls battle royale a avoir réussi l’exploit de survivre et de continuer à attirer une base de joueurs solide. Plus nerveux et rapide que les concurrents, il est basé sur un système de héros à compétences mais ne propose que deux cartes. Il vaut le coup d’être essayé, surtout qu’il est free to play.
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Amid Evil

Un rétro-FPS venant de l’éditeur New Blood (DUSK) et se déroulant dans un univers d’Heroic-Fantasy assez kitsch mais tout à fait original. On se bat avec des objets magiques envoyant tout un tas de projectiles divers et variés, dont notamment un lance-planètes du plus bel effet. Visuellement le jeu mélange des modèles low-poly avec des effets plus modernes et le résultat est très réussi – si on arrive à se laisser happer par le côté atypique de la réalisation. Un bon fast FPS à l’ancienne.
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Bright Memory

Un FPS indépendant chinois qui mêle habilement Beat’em Up et FPS dans un univers de SF. Face au petit succès qu’eu la sortie en accès anticipé, le développeur a décidé de mettre les bouchées doubles et de retravailler totalement la proposition. La première version étant déjà prometteuse bien qu’assez cheap, on gardera un œil dessus par la suite.
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Call of Duty: Modern Warfare

« Comme d’habitude”. C’est l’expression qui revient le plus souvent lorsque l’on joue à Call of Duty 16: Modern Warfare. On retrouve dans ce nouvel opus toute l’essence de la série : une campagne solo parfaitement dispensable en plus d’être particulièrement nauséabonde et un mode multijoueur efficace, prenant, mais qui ne réinvente pas la roue. Nous sommes ici en terrain conquis, et ce ne sont pas les (rares) innovations de gameplay qui feront dire le contraire. Si vous aviez apprécié le Modern Warfare de 2007, vous apprécierez le Modern Warfare de 2019. C’est du more of the same, mais ça n’en fait pas pour autant un mauvais jeu. Un nouveau Callof, en somme. Ni plus, ni moins.
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Chernobylite

Un FPS/RPG/horreur/survie ambitieux développé par The Farm 51. Se déroulant en plein coeur de la zone d’exclusion de Tchernobyl, le jeu propose au joueur d’incarner un type atteint d’hallucination cherchant sa femme portée disparue. Rencontre entre stalkers et milices gouvernementales, événements surnaturels, scénario ésotérique et complot à la X-files… Le tout dans un environnement rendu crédible par la photogrammétrie. Bon, pour le moment, le jeu est pété de partout (technique à la ramasse, mécaniques de jeu non fonctionnelles…) et ne peut pas vraiment être apprécié en l’état, mais il pourrait proposer une expérience originale lors de sa sortie en 2020.
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Due Process

On aime utiliser le terme Tacticool pour qualifier les FPS tactiques. Néanmoins, le terme résume à lui seul Due Process, un Swat 4 pixelisé extrêmement fun à jouer seul ou avec ses amis. Néanmoins, on en parle depuis maintenant 4 ans, et il faudrait que les petits gars de Giant Enemy Crabs s’activent pour sortir le jeu qui est pour l’instant en alpha fermée.
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Escape from Tarkov

Le jeu continue de suivre son petit bonhomme de chemin, le développement est loin d’être terminé mais Escape from Tarkov est clairement sur la bonne voie malgré les nombreux problèmes qu’il a rencontré. La sortie récente de la 0.12 a permis de mettre un gros de boost sur l’optimisation qui a longtemps était un point noir, tout en ajoutant du contenu en quantité. Bref, EFT est un jeu pour les joueurs exigeants, qui s’améliorent petit à petit et qu’il faudra continuer à suivre dans les années à venir.
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GTFO

Jeu en coop’ par d’anciens développeurs de PAYDAY, GTFO se présente comme un FPS hardcore mélangeant horreur et travail d’équipe. Même si le jeu est très lent et peut s’avérer frustrant, il propose une ambiance véritablement travaillée et mettant en avant l’aspect coopératif. Actuellement en accès anticipé, il s’agit déjà d’une expérience intéressante et prenante : autant vous dire qu’on a hâte de voir ce que donnera le produit fini.
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Hell Let Loose

Si vous êtes fan de Squad, Hell Let Loose est un incontournable de l’année 2019. Beaucoup moins frustrant que Post Scriptum, il devrait ravir les amateurs de FPS semi-réaliste à la sauce Seconde Guerre Mondiale. Il est pour l’instant en accès anticipé, les mises à jour sont régulières et la roadmap respecté. HLL est une très bonne surprise et clairement un jeu à posséder dans sa bibliothèque.
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MechWarrior 5: Mercenaries

Ce n’est pas un FPS au sens propre, mais comme les gros tanks qu’on pilote possèdent deux bras et deux jambes, ça passe ! Le jeu reprend le gameplay de MechWarrior Online, en l’adaptant à une campagne solo d’environ 40h. Le coop n’est pas très bien intégré, il y a beaucoup de farming, mais on s’éclate quand même à démembrer les Mechs ennemis à coup d’Autocannon 20. Pas le jeu du siècle, mais pas dégueu non plus.
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Nightmare Reaper

Un mélange de rétro-FPS et de Rogue-lite en accès anticipé dans lequel il faut traverser des niveaux générés procéduralement en défonçant des dizaines de monstres et en récupérant de l’équipement. Bourré de contenu et jouissif dans son gameplay, le titre pêche par son esthétique hideuse et sa technique aux fraises.
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Project Downfall

Sorte de Hotline Miami en vue FPS, Project Downfall propose un shooter assez hardcore avec des graphismes très particuliers et réussis. Le jeu était encore trop brut lors de son arrivée en accès anticipé pour être agréable mais a bien évolué depuis : les mises à jour régulières ont apporté beaucoup de contenu et étoffé le gameplay. Pourrait s’avérer correct lors de sa sortie finale.
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Subnautica Below Zero

Difficile de juger Subnautica Below Zero pour le moment, il suit le même développement que le premier opus même si le scénario va repartir de zéro dès les prochaines mises à jour. L’acheter maintenant est une plongée dans l’inconnu et se résume surtout à soutenir le développement. Il faut le relancer de temps en temps pour voir les progrès ou attendre patiemment qu’il quitte l’accès anticipé. Un jour.
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Tannenberg

Un petit FPS sur la Première Guerre Mondiale assez sympa mais avec une playerbase de plus en plus restreinte. Néanmoins, il peut vous occuper quelques heures si vous le choppez à quelques euros lors d’une promotion.

Void Bastards

Il n’aura probablement pas marqué grand monde cette année mais le jeu de Blu Manchu (fondé par Jonathan Chey qui avait déjà participé à la création d’Irrational Games), bien qu’assez court, a su proposer une expérience très satisfaisante avec ces nombreuses situations inattendues. En transposant les mécaniques de FTL dans une vue FPS agrémentée d’armes loufoques, Void Bastards ne vous décevra pas. Si tant est que ses références vous parlent.
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Wolfenstein Young Blood

Wolfenstein: Youngblood est un jeu coopératif dans l’univers Wolfenstein. Incarnant les deux filles de Blazkowicz, les joueurs doivent libérer Paris du joug des nazis. S’éloignant complètement de l’aspect narratif envahissant de Wolfenstein 2, il se recentre plutôt sur ce qui fait le sel de la licence : ses combats violents (et c’est tant mieux). De plus, Arkane Studio est venu donner un coup de main sur le level design, conférant aux niveaux un certain sens de la verticalité et offrant diverses options pour aborder les situations. S’il n’est pas parfait, il reste un bon jeu à faire en coopération.
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WRATH: Aeon of Ruins

Un rétro-FPS que l’on attendait de pied ferme, notamment depuis que nos agents l’avaient testé à la Gamescom 2019. Utilisant le moteur de Quake 1 fortement boosté, WRATH: Aeon of Ruins propose de faire un tour en 1998 avec un univers de Dark Fantasy et quelques idées de gameplay. Malheureusement, il est pour l’instant à la fois trop facile et trop sage.
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Les FPS que nous avons déjà oubliés :

Arsenal Demon

Un petit rétro-FPS se déroulant dans une arène et balançant des vagues de robots tueurs sur le joueur. La petite originalité du jeu vient de la vitesse de mouvements et des nombreuses possibilités offertes : double saut, dash, wall-run, bunny hop… On a essayé la démo puis on l’a oublié sur le champ.

Battalion 1944

Il sera mort deux fois. Une première fois lors de sa sortie originale catastrophique, puis une seconde fois cette année. Malgré un lancement qui pouvait laisser espérer que le jeu remonte la pente, il est presque totalement déserté aujourd’hui, faute à un gameplay dépassé et peu intéressant. L’ego du patron du studio n’a pas aidé le cas du jeu qui préférait blâmer les autres pour les nombreuses erreurs qui ont conduit à cet échec.
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Citadel Forged With Fire

Un FPS/RPG/jeu de survie multijoueur en monde ouvert offrant d’incarner un mage aventurier dans un univers heroic fantasy lambda. La proposition fait penser à celle de ARK et ATLAS alors autant vous dire qu’on y a pas joué.

Demon pit

Littéralement un arena-FPS au look rétro, Demon Pit propose d’affronter des vagues de mobs en étant bloqué dans une zone à l’étendue limitée. À chaque vague le niveau évolue, offrant de nouvelles zones sur lesquelles s’appuyer ou, au contraire, en bloquant certaines. Un jeu répétitif et à la technique ratée qui ne plaira qu’à ceux qui aiment vraiment comparer leur e-zizi. Au moins, on a pu prouver qu’on en avait un plus gros que GmanLives !
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Freeman: Guerrilla Warfare

Sorti en octobre après un an et demi d’early access, il s’agit d’un jeu indépendant reprenant le concept de Mount & Blade – mais avec des flingues. Honnêtement, ça semblait un peu trop cheap pour qu’on le teste.

Green Hell

Un jeu de survie exigeant qui peut être assez brut lors de vos premiers pas. Il est plutôt à réserver aux amateurs du genre qui aime regarder Bear Grylls découper un chameau pour dormir dedans.
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Hedon

Encore un rétro FPS. Créé par un type tout seul sur GZDoom, Hedon loupe le coche du fun de pas grand chose. Honnête tout de même, il dispose d’une campagne longue avec des environnements très travaillés, qui poussent à l’exploration. Les combats sont, par contre, bien nuls et manquent clairement de punch. Peut tout de même occuper un week-end de vaches maigres.
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Ion Fury

Développé par 3D Realms sur le vénérable Build Engine, Ion Fury est de loin le plus mauvais élève de la vague rétro. Les combats sont mous contre des ennemis inintéressants dans des niveaux à l’architecture très moyenne. Nonchalamment appuyé sur les épaules du Duke, Ion Fury espère faire vibrer la corde nostalgique mais se contente d’être d’un ennui mortel face à une concurrence bien plus solide.
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Maximum Action

Encore un FPS venant de l’écurie New Blood (DUSK, AMID EVIL), Maximum Action propose de rejouer des scènes de films hollywoodiens dans un shooter au look rétro. Akimbo, sauts sur le côté, glissades, bullet time, éditeur de niveau et possibilité de sauvegarder le replay de l’action sont à l’ordre du jour. Un concept intéressant mais, malheureusement, la version sortie en accès anticipé était trop peu avancée pour donner un véritable aperçu du potentiel du jeu.

Pathologic 2

Venu de Russie, proposé par Ice-Peak-lodge, Pathologic 2 est une sorte de jeu d’aventure narratif à la première personne. Malheureusement bugué jusqu’au trognon, optimisé à la truelle, ennuyeux à parcourir, il ne lui reste que les quelques panoramas ésotériques qu’il nous propose parfois pour sauver l’affaire. Trop peu pour en faire un bon jeu.
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Rage 2

Un bon FPS dans un monde ennuyeux, sans intérêt et très décevant. Pour 5€, il peut toujours vous occuper quelques heures. On attendait rien de lui, et tant mieux. Ce n’est pas une très bonne année pour Bethesda. Le jeu est toujours sujet à un suivi régulier avec quelques DLCs, mais ce n’est pas suffisant pour lui donner un quelconque intérêt.
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Ring of Elysium

Le PUBG façon détente. Moins exigeant, plus arcade, gratuit mais bourré de qualités. Le jeu est régulièrement suivi par les développeurs, et arrive survivre dans l’univers des battle royale.
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Sniper Ghost Warrior: Contracts

Sniper Ghost Warrior Contracts ne marquera pas les esprits comme étant le jeu de l’année, ou même du trimestre. Très moyen dans sa réalisation, il a cependant le mérite de ne pas partir dans tous les sens et de s’en tenir à sa proposition de base : tirer dans la tête des gens sans trop s’ennuyer. Si c’est votre truc, il vous divertira une douzaines d’heures.
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Supraland

Un jeu d’aventure à la première personne. Vu qu’on est des vrais joueurs chez NoFrag, on a pas vraiment pris le temps de parcourir. Le jeu a reçu de bonnes critiques, mais très honnêtement, on s’en fout totalement à la rédaction. Une suite est d’ailleurs prévue.

The Outer Worlds

Un FPS/RPG pour casu papa fait par Obsidian et détenant la palme du character design moche. À oublier si vous aimez la profondeur, les combats intéressants et les surprises (scénaristiques ou de gameplay), mais idéal si vous n’avez pas le temps de vous plonger dans une longue aventure de plusieurs centaines d’heures, que vous avez peur du défi et que jouer à un ersatz de Fallout 3 ou 4 vous intéresse.
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The Beast Inside

Un jeu d’horreur à la première personne qui, pour une fois, propose quand même quelques flingues. On y a quand même pas joué.

Vanguard Normandy 1944

Toujours en accès anticipé, mais plus personne ne joue à cette sorte de Post Scriptum en petit comité (10vs10). Il est probablement mort, même les développeurs se demandent quoi faire face à l’absence de joueurs.
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Wrack: Exoverse

Suite d’un FPS indé sorti en 2014, Wrack: Exoverse est un tower defense à la première personne. Le jeu est moche et son développeur a mis la clef sous la porte juste après sa sortie.

Les daubes qui nous ont fait cauchemarder :

Arthurian Legends

Une adaptation des légendes arthuriennes en rétro FPS avec acteurs digitalisés et tout le bataclan. On a testé une build beta cette année et c’était franchement pas terrible, chiant et assez laid.

Away: Journey to the unexpected

Même si le développeur rencontré lors d’une présentation presse nous avait prévenu, Away: Journey to the Unexpected laisse tout de même une impression de foutage de gueule. Le gameplay se résume à celui d’un jeu mobile gratuit et la durée de vie peine à atteindre 5h. Même la direction artistique qui pourrait paraitre kro mignonne si on aime le genre a des relents de fainéantise. Aucun intérêt.
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Black Squad

Un free-to-play coréen façon Call of Duty. Il a une base de joueur assez stable et c’est disponible sur Steam. Prenez le temps de l’essayer, mais c’est exactement ce que vous imaginez.

Borderlands 3

Si vous aimez Borderlands, ne vous posez pas de questions : achetez-le. Si vous n’aimez pas Borderlands (ce que nous pré-supposons de vous en tant que lecteur de Nofrag), ne vous posez pas de questions : ne l’achetez pas.
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Delta G

Un arena-FPS multijoueur en zéro gravité. Le contrôle aérien est plutôt bien géré mais une bonne idée ne fait pas un jeu – et Delta G ne propose rien de plus.
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Dollhouse

Une sorte de jeu d’horreur explorant la psyché d’une détective, ou un truc comme ça. En réalité, c’est une sorte de jeu du chat et de la souris avec un monstre dans des labyrinthes générés procéduralement. Pénible, lent et frustrant. Un mode multijoueur existe mais était déjà déserté à la sortie, le rendant impossible à tester.

Exodemon

Un rétro FPS dont la gestation a été des plus difficiles pour son développeur. Le résultat est complètement inintéressant. Une perte de temps et d’argent.

Far Cry: New Dawn

Sortie début 2019, cette itération de Far cry était annonciatrice de la vague de merde à venir pour Ubisoft. Après un épisode 5 toujours aussi moyen, le studio poussait cette fois le curseur du recyclage à son paroxysme. Les seuls nouveautés consistaient en des mécaniques qui ne s’intégraient pas correctement au jeu où présentes uniquement pour gonfler artificiellement la durée de vie du titre. Heureusement le jeu a fait un bide et on espère que ça forcera Ubisoft à revoir sa façon de développer un Far Cry.
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Generation Zero

Le Zero dans le titre aurait dû nous alerter : il n’y a quasiment rien à sauver dans le titre d’Avalanche Studio. Particulièrement buggé à sa sortie avec des ennemis qui vous voient à travers les murs, des problèmes de collisions, de scripts, etc., la purge ne s’arrêtait pas là avec une carte d’un vide abyssale. Rébarbatif au possible, mal foutu dans ses mécaniques, Generation Zero est tout simplement nul. Nul, nul, nul.
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Genesis Alpha One

Un FPS qui vous met dans la peau d’un explorateur spatial : amélioration et agrandissement de son vaisseau, gestion de l’équipage, minage de débris, expéditions sur des planètes et invasions extra-terrestre… Beaucoup de propositions, mais tout est traité par-dessus la jambe. Pour tout vous dire, on a cru qu’il s’agissait d’un accès anticipé lors de notre test – mais non, le jeu est sorti « fini ».
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Halo: Reach

On espérait vraiment que le portage PC de Halo: Reach apporte quelque chose d’intéressant mais il n’en est rien : il ne s’agit que du portage fainéant d’un FPS console déjà médiocre à l’époque. Vivement la suite…
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Hellbound

Les développeurs vendent Hellbound comme un FPS moderne à la philosophie old-school. Après avoir partagé un mode Horde naze en mai 2018, ils ont publié une démo du mode campagne fin novembre et, surprise : c’est tout aussi pourri. Aucune sensation, la D.A. est laide et le level design peu inspiré. À oublier.

Postal 4

Postal 4 essaye de surfer sur le succès de Postal 2 en proposant un accès anticipé qui ressemble en tout point au jeu de 2003 mais en moins bien. C’est moche, ça rame, c’est pas drôle, buggé et super lent. Même si vous êtes fan de Postal 2 et d’humour noir et graveleux, passez votre chemin : en l’état, c’est une vraie merde.

RICO

Inspiré par les films d’action et focalisé sur la coopération, RICO aurait pu être un petit jeu sympa – mais non. Notre test se concluait ainsi : « Malgré un pitch initial alléchant, RICO est nul, raté, mal pensé, brouillon et techniquement à la ramasse : pour la somme exorbitante de 20€, c’est un véritable scandale. Si vous avez 20€, gardez-les pour vous payer un Buffalo Grill ou filez-les à NoFrag plutôt qu’aux personnes ayant commis cette ignominie et qui devraient finir en prison. »
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Splitgate Arena Warfare

Un fast-FPS qui mélange Halo et Portal. C’était rigolo quelques heures, puis on le désinstalle très rapidement. Ce n’est pas mauvais, mais c’est ennuyeux…
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Terminator: Resistance

Un FPS en monde semi-ouvert avec du crafting et du leveling basé sur les deux premiers films Terminator. On sent que les développeurs aiment et respecte le matériau d’origine. Dommage que le jeu, au final, ne soit qu’une bouse au gameplay insipide, aux graphismes risibles et à la mise en scène fade qui souffre du peu de moyens des développeurs.
Retrouvez notre test.

The Black Masses

Un FPS médiéval dans lequel on affronte jusqu’à 20 000 zombies en simultané. Au-delà du nombre impressionnant d’ennemis, tout le reste a l’air à chier et ce n’est pas la démo qui nous a convaincu du contraire.

The Pit: Infinity

Un FPS rogue-lite permettant la coop’ à 4 dans des niveaux générés procéduralement. C’est très moche, mou et inintéressant.

Les FPS en réalité virtuelle  :

Boneworks

À réserver aux habitués de la VR. Une véritable démo technique pour la physique en réalité virtuelle. Néanmoins, malgré des gunfights intéressants, l’aventure n’est pas passionnante et se termine assez rapidement. Il reste clairement dans le haut du panier des FPS en VR. Le mode horde est un défouloir de très bonne qualité.

Borderlands 2 VR

Déjà que Borderlands c’est de la merde, alors s’imaginer se l’infliger en VR. Non merci.

Budget Cuts 2

Une bonne suite au premier opus, même si la locomotion par téléportation commence à faire un peu tâche lorsqu’on a de la bouteille en VR. Néanmoins, il reste une assez bonne aventure solo pour les nouveaux arrivants.

Espire 1: VR Operative

Un jeu d’infiltration à la première personne en VR, les développeurs disent s’être fortement inspirés de Metal Gear Solid. On y a pas joué et on n’a pas d’avis sur la question.

GORN

Après deux ans de bêta, il était temps que la version finale sorte. GORN, c’est du corps à corps, du gore et de grosses rigolades en VR. Le moteur physique est drôle à défaut d’être réaliste, les graphismes également. On bouge dans tous les sens, on arrache des têtes, on découpe de bras, on balance les ennemis les uns sur les autres. Un classique, malheureusement indisponible sur l’Oculus Quest.

Stormland

Un FPS VR par Insomniac Games (Ratchet & Clank, Spiderman) mettant le joueur dans la peau d’un robot devant affronter d’autres robots, méchants cette fois-ci. Le gameplay permet d’aborder les situations de différentes façons (infiltration, combat, etc.). Ça a l’air sympa, mais on y a pas assez joué pour être catégorique.

Pistol Whip

Pistol Whip est un croisement entre un rail shooter, Beat Saber et Super Hot. Du gun kata en rythme sur des musiques électro : ça donne la pêche, ça fait bosser le cardio, c’est violent, élégant, efficace.

Les jeux morts-nés :

Deathgarden

Le jeu n’a jamais vraiment été capable de se démarquer de Dead by Daylight, lui aussi de Behavior Digital. Malgré un reboot en milieu de parcours, le jeu a été un gros bide. Il est voué à disparaître à la fin de l’année.
Retrouvez notre preview n°1 puis n°2.

Fear the Wolves

Nous sommes toujours à la recherche des développeurs. Le battle royale de Webedia/Focus Home est un gros bide et ne donne plus aucune nouvelle.
Retrouvez notre preview.

Goat of Duty

Un fast-fps avec des chèvres. C’était rigolo sur le principe mais pas vraiment intéressant dans les faits. Le jeu est pratiquement mort.

Maverick: Proving ground

Le jeu est mort avant d’être disponible. Mais ça semblait être bien de la merde.

Pandemic Express

Une sorte de BR avec 30 joueurs, l’un d’entre eux est désigné au hasard pour devenir un zombie. Vous devez rejoindre un train pour vous enfuir. Si vous êtes tué, vous devenez à votre tour un zombie. Un principe assez rigolo mais une exécution assez maladroite.

Planetside Arena

Un battle royale dans l’univers de Planetside. Né le 21 septembre 2019, mort le 10 janvier 2020. Simple. Efficace.

The Blackout Club

Un jeu en coopération avec des enfants dans une ambiance Stranger Things. C’était très ennuyeux, très peu intéressant et répétitif. De nombreuses mises à jour sont sorties depuis, mais on a pas vraiment le courage de le relancer.

Les FPP (First Person Promenade) :

Blairwitch

Un walking simulator horrifique basé sur l’univers du film du même nom et développé par l’équipe derrière la série Layers of Fear. Petit twist : le héros est accompagné d’un chien trop mignon – on espère qu’il ne lui arrivera rien. On a pas testé mais, apparemment, le jeu se finit en 5 heures et est tout à fait classique et oubliable.

Close to the sun

Un walking simulator qui pompe honteusement les visuels et la thématique de Bioshock tout en proposant des phases horrifiques qui ne font pas peur et beaucoup de bavardages sans intérêts… Soporifique et inutile.
Retrouvez notre test.

Draugen

Un jeu d’enquête psychologique se déroulant en 1923 en Norvège. Les développeurs décrivaient le jeu ainsi : “HP Lovecraft rencontre Dostoyevsky, ou encore Gone Home rencontre Amnesia” mais ça ne nous a pas vraiment donné envie d’y jouer.

Layers of Fear 2

Layers of Fear 2 est un pur walking simulator ayant pour thème le septième art. Il ne propose aucune interactions et ses phases horrifiques ne font pas peur, mais les amateurs de balades narratives dans lesquelles le joueur est plus spectateur qu’acteur pourraient bien apprécier son atmosphère étrange, ses trouvailles visuelles et son scénario énigmatique. Les autres passeront leur chemin sans se retourner.
Retrouvez notre test.

Moons of Madness

Un walking simulator horrifique qui s’inspire de Lovecraft et qui se déroule sur Mars. Développé par Rock Pocket Games, Moons of Madness est un bulldozer sans aucune délicatesse qui vous propose une balade dénuée de toute subtilité ou montée en pression. L’histoire moyenne, couplée à la narration tout aussi moyenne, ne valent pas de vous infliger les dix heures de ligne droite de MOM.
Retrouvez notre test.

Outer Wilds

Jeu d’aventure à la première personne, Outer Wilds et son système solaire fait main propose certaines des mécaniques d’exploration les plus prenantes et uniques de ces dernières années. Dénué de toutes mécanique de shoot – ou même simplement de combat – le jeu reste néanmoins belle surprise pour qui aime le genre.
Retrouvez notre test.

The Occupation

On voit bien toutes les bonnes intentions du studio pour proposer un jeu intéressant et immersif autour d’une histoire riche en profondeur. Mais une fois le tout mis ensemble, ça ne fonctionne pas. La faute à des mécaniques parfois pas assez travaillées et qui interfèrent les unes avec les autres.
Retrouvez notre test.

Les TPS, mais on en a parlé quand même :

Anthem

Un TPS développé par Bioware dans lequel on incarne un ersatz d’Iron Man dans un univers de science-fiction générique. Ça avait l’air nul dès le début, et ça l’était lorsque c’est sorti. Un excellent post-mortem explique l’ampleur de la catastrophe que fut le développement du jeu.

Control

Le dernier jeu de Remedy (Max Payne, Quantum Break) est un TPS avec des pouvoirs magiques. Il s’inspire allègrement des travaux visuels de David Lynch et de l’ambiance de X-files et de la fondation SCP. Même s’il essaye de faire croire le contraire, il ne cache en réalité qu’un jeu très moyen derrière des graphismes assez beaux. Petite précision : vous passerez l’intégralité du jeu à utiliser un pouvoir télékinésique surpuissant doté d’une visée automatique, idéal donc si vous êtes mauvais en jeux de tir.
Retrouvez notre test.

Ghost Recon Breakpoint

Le jeu qui a traumatisé un membre de la rédaction. Une véritable honte pour un studio aussi important qu’Ubisoft qui a réussi à faire ressortir le pire de chacune de ses mécaniques. La seule bonne chose du jeu et que le jeu fut tellement un échec critique et commercial que cela a poussé Ubisoft à décaler la sortie de trois autres titres. Allez, encore une année de plus à sortir des étrons et Ubisoft pourra peut être enfin se targuer de sortir des jeux aux niveaux de leur statut.

The Division 2

Un looter-shooter Ubisoft à la troisième personne dans lequel des agents gouvernementaux tirent sur des pillards-sacs à PV évoluant dans un environnement post-apo. On n’a joué qu’à la beta mais ça nous a suffit pour mourir d’ennui.

The Sinking City

Un jeu d’horreur/enquête à la troisième personne se déroulant dans un univers inspiré par Lovecraft qui promettait une plongée dans la folie. Respectueux des oeuvres originelles dans son ambiance, le jeu se viande dans à peu près tout le reste : son monde ouvert raté, ses combats abscons, les enquêtes trop simples et dirigistes ainsi que sa technique d’un autre âge viennent planter les clous sur son cercueil. Une abomination.
Retrouvez notre test.

World war Z

Meilleur que le film, le jeu reste quand même très moyen. Gameplay générique reprenant des mécaniques déjà vues maintes et maintes fois, niveau pas très inspiré, armes sans patates, on enchaine en coop’ les niveaux sans prendre du plaisir. Seul le mode PVP pourrait être digne d’intérêt mais à 35€ la copie, ça fait cher le mode de jeu.

Conclusions 2019

Fcp : Une année 2019 pas vraiment marquée par des expériences fascinantes, la preuve j’ai du réinstaller Natural Selection 2 et Team Fortress 2. Du côté des grosses sorties, sans surprise, ce fut surtout un concours du plus gros étron sorti, à l’exeption de Metro Exodus. La tendance qui voudrait qu’il faille se tourner vers les plus petits studios pour retrouver du plaisir se confirme encore cette année avec GTFO, Due Process ou Deep Rock Galactic. Tout n’est donc pas perdu et on peut garder espoir lors de ces fêtes de fin d’année que je vous souhaite excellentes !

Haraban : Moi qui n’aime pas les FPS multi en général, ce sont eux qui auront sauvé mon année 2019, notamment avec Mordhau et Apex. Le reste de mon temps de jeu aura été articulé autour de la déception Ion Fury, que j’attendais de pied ferme, quelques experiences anecdotiques que j’ai déjà oublié, et l’indestructible Brutal Doom qui continue sans fin de faire mon bonheur. Vivement 2020, et bonnes cloture 2019 à tous ! Bonheur sur vous et vos familles.

Interitum : 2019 est finalement une année assez pauvre en FPS de qualité. Comme souvent ces dernières années, j’ai passé plus de temps sur des jeux déjà vieux de plusieurs années que sur les nouveautés. Je retiens quand même quelques chouettes surprises, notamment Apex, Hunt: Showdown et le très bon Outer Wilds.

Nounoursss : Une année assez pauvre en terme de FPS. J’ai passé du temps sur l’alpha fermée de Due Process et Mordhau principalement. Voilà. Bonnes fêtes.

Rutabaga : Même s’il n’y a probablement pas eu de titre dont je me rappellerai toute ma vie, 2019 m’a proposé tout un tas de FPS différents qui m’ont fait passer du bon temps tout le long de l’année. Entre Metro Exodus pour le solo, Hunt: Showdown pour le PvP, Wolfenstein: Youngblood pour la coop’, AMID EVIL pour le rétro-FPS et tout un tas d’autres expériences en accès anticipé qui pourraient s’avérer intéressantes à l’avenir (Bright Memory, Chernobylite, GTFO), j’ai eu de quoi faire. Je finis donc l’année satisfait et vous souhaite de bonnes fêtes !

San_Liberty : Aussi bons soient-ils, aucuns des jeux présents dans ce bilan (hormis peut-être GTFO) n’ont attiré mon attention. Je suis resté sur Battlefield 4, Battlefield 1 et Killing Floor 2, essentiellement (oui, j’ai des amis qui y jouent).

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12 Commentaires


  1. Merci pour le bilan 2019, beaucoup de daube mais quelques bonnes surprise !

    Joyeuses fêtes de fin d’année NoFrag !

  2. @nounoursss Je retire ce que je t’avais dis sur le jeu, après avoir choppé la clef en concours : c’est effectivement de la merde, et pas moyen de finir le jeu pour je ne sais qu’elle raison (il me manque une ou 2 étoiles que je ne sais pas ou choper).
    C’est dla merde.

    Quel jeu ?

  3. Bizarrement j’ai passé un super moment en jouant à Ion Fury, perso… 🙂

  4. Malgré les défauts que le test de Nofrag avait, avec justesse, pointé (variété faible d’ennemis, effets sonores, lignes de dialogue notamment)…

  5. Escape from Tarkov juste sympathique ??

    Vous n’avez aucun goût, sérieux…

  6. Pour ma part
    Meilleur fps multi 2019: Modern Warfare (en 2ème Mordhau, en 3eme hunt showdown)

    Putain j’aurais jamais penser mettre un call of en top depuis cod 4.
    Il est complet en terme expérience, un solo court mais qualitatif, pleins de mode de jeu en multi, un mode coop avec du challenge, des graphisme enfin à niveau et surement le meilleur feeling à ce jour en terme d’arme, bref j’ai jamais autant jouer à un cod je crois. Sans parler des maps gratos, des skins pas trop intrusif, des killstreak pas abusé, un mode réalisme bien stylé, Manque plus qu’un promod compétitif en recherche et destruction avec rank/matchmaking et un battle royale qui est en train de leaké et on a clairement l’un des fps « arcade » les plus complet depuis quoi ? bfbc2? bf3? bf4?

    Meilleur fps solo 2019: Metro Exodus.
    Oui il est peut-être moins bien que les 2 premiers, mais putain c’est Metro quoi et je l’attendais depuis un moment, et vu qu’il n’ y a pas tellement de concurrence cette année en fps solo, il rafle la première place facilement.

    Meilleur « early access »: Escape From Tarkov.

  7. Merci pour le bilan !

    Par contre vous devriez éviter de mettre les jeux en Early Acces, et les garder pour l’année de leur sortie.

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