Predator: Hunting Grounds s’offre une date de sortie sur PC

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« La chasse commence le 24 avril 2020 ». C’est en ces mots que le dernier trailer de Predator: Hunting Grounds annonce sa date de sortie. Pour rappel, le jeu se veut être un Evolve-like prenant place dans l’univers de la série cinématographique Predator.

Le trailer est essentiellement axé sur la présentation du Predator. Ce dernier, uniquement jouable en vue TPS, sera disponible en trois classes distinctes : Hunter (équilibré), Berserker (résistant et puissant), Scout (agile et rapide). On voit également quelques unes des armes que le chasseur pourra manier, parmi lesquelles l’emblématique canon plasma vu dans les films, ainsi qu’un arc, une lance et un genre de disque acéré. Signe que la licence Predator est définitivement entrée dans le XXIe siècle, le jeu permettra enfin d’incarner un Yautja de sexe féminin.

Predator Hunting Grounds female
N’oubliez pas la Règle 34…

Une bonne nouvelle ne venant jamais seule, nous avons le plaisir d’apprendre que Predator: Hunting Grounds ne sera pas une exclusivité Playstation 4 ! Le jeu sortira également le 24 avril 2020 sur l’Epic Game Store. Une bonne nouvelle pour les joueurs PC qui pourront profiter du titre dans les meilleures conditions, soit au clavier et à la souris.

SourcePlaystation Blog
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6 Commentaires


  1. Ça peut difficilement fonctionner ce genre de jeu à cause de la différence de skill entre les joueurs. Si les proies sont meilleures que le prédateur, ils le défoncent et le contraire même chose. Il faut un très bon SBMM, genre 1 très bon prédateur contre 1 bonne et 2 mauvaises proies par exemple, sinon ce sera juste chiant pour tout le monde.

  2. Reste les bruitages iconiques du film, la bande son aurait du avoir un oscar à l’époque en 1987, putain la trique rien qu’avec ça !

  3. C’est moi ou on dirait à la limite une moeuf le prédateur ?

    Je crois que c’est le but recherché.
    On moins maintenant nous savons que les predators sont des mammifères.

  4. Le dernier film est un navette intersidérale, c’est d’une tristesse infini.

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