Lust for Darkness montre son culte en vidéo

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On sait que le jeu-vidéo est devenu aussi mature que les autres média lorsque l’on voit sa propension à utiliser le sexe comme argument de vente : en effet, si l’industrie musicale n’hésite plus à illustrer ses chansons avec de grosses paires qui twerkent tandis que le cinéma célèbre – et récompense parfois – les scènes de sexe comme étant le point culminant de l’art, le jeu vidéo n’est désormais plus en reste. Outre certaines scènes de cul intégrées aux forceps dans les jeux, comme dans Far Cry 3 par exemple, on a aussi récemment pu voir arriver sur nos machines Agony dont le seul argument marketing était l’apparition de scènes sexuelles prétendument subversives à l’écran.

Aujourd’hui c’est Lust for Darkness qui se complaît dans le stupre en présentant un jeu mixant horreur lovecraftienne et sexe, dans lequel vous découvrirez un étrange culte voué à une dimension rendant les gens accros aux parties fines et les transformant en créatures à la soif de cul inaltérable. Ne vous attendez pas à un jeu d’action débridé mais plutôt à un survival à la Amnesia dans lequel vous devrez fuir des monstruosités tentaculaires et des godemichets vintages. Vous pouvez voir la vidéo ci-dessus, évidemment NOT SAFE FOR WORK pour les lecteurs ne travaillant pas dans l’industrie du sex-toy.

Pour les petits coquins qui aiment le mystère et l’érotisme plein de bloom, Lust for Darkness sera disponible le 12 Juin sur Steam.

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6 Commentaires


  1. J’ai trouvé ça assez stylé perso. Parfois on met pas du cul juste pour mettre du cul et en faire un seul argument marketing, c’est pas mal réducteur et plutôt triste de penser comme ça je trouve ^^ C’est sûr que le cul fait vendre, mais pour le coup l’ambiance du trailer m’a plu, avec le ptit Rachmaninov qui passe bien, le masque et les pétales rouges. Pas du tout original mais qu’importe. C’est sensuuuuel

    Pas comme la version non-censurée d’Agony qui est beaucoup trop hardcore pour mon petit cœur sensible.

  2. J’ai cru lire « Lust of the dead », malheureusement non pas adaptation de ce chef d’œuvre.

  3. J’ai encore appris un mot grâce aux cultivés rédacteurs de Nofrag. La dernière fois, c’était « ébaubir ». Encore une opportnuité de briller un peu plus en société !

  4. Mélanger horreur lovecraftienne et scène de sexe ? J’ai un peu l’impression d’entendre un type me dire qu’il me prépare un gâteau mélangeant anchois et chocolat.

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