SCUM se montre à nouveau, après nous avoir présenté sa balistique et l’influence des douleurs intestinales sur la visée. Cette fois-ci, ce sont huit minutes d’images de gameplay que l’on nous présente. On nous y fait un comparatif entre les jeux mélangeant (plus ou moins bien) les phases TPS et FPS et la manière dont SCUM gère la visibilité pour éviter de donner l’avantage à un joueur ou à autre selon s’ils sont à la première ou troisième personne.
Dans SCUM, si vous n’avez pas le joueur adverse dans votre champ de vision, si celui-ci est obstrué ou s’il profite d’un camouflage, vous ne pourrez pas le voir à moins de vous exposer. Une fois l’adversaire repéré, un contour rouge s’affiche sur la cible et montre vers où se dirige votre future victime. Ce contour est temporaire et ce n’est qu’en augmentant vos compétences que vous pourrez suivre un joueur plus longtemps.
La seconde partie de la vidéo montre plus en détail cette mécanique et y ajoute le Focus. Avec des hautes statistiques dans les compétences d’Awareness et de Focus, vous pourrez repérer plus facile l’adversaire et à de plus grandes distances. Cette mécanique fonctionne aussi pour la faune sauvage ou pour un danger immédiat, vous alertant avant de finir en pâté pour ours.
Enfin, la dernière partie présente la mécanique de discrétion, comment votre équipement mais aussi votre masse corporelle influe sur le son que vous produisez.
A chaque vidéo, SCUM se dévoile comme un jeu de survie ingénieux, la question qui subsistera jusqu’à la fin de son développement est si cela ne se retournera pas contre eux. SCUM est prévu pour une sortie en accès anticipé durant l’année 2017.
