Sur le papier, The Town of Light est une idée moyenne réutilisant un concept surfait ces dernières années. Le genre du « walking simulator » à la Dear Esther ou Gone Home commence à avoir du mal à marcher, et même un jeu comme Everybody’s Gone to the Rapture risque d’avoir du mal à inverser la tendance. C’est pour ça que j’étais très pessimiste en en parlant la dernière fois.

[–SUITE–] C’est donc assez dubitatif que je suis allé tester le jeu ce matin, mais ça valait le coup. Une démo de trente minutes tournant entièrement sous Oculus VR DK2, c’est assez bluffant. Le fait que The Town of Light soit basé sur un lieu et des faits réels, l’asile de Volterra, donne aux lieux une atmosphère authentique et dérangeante sans pour autant reposer sur des jumpscares à la noix. Ça reste un simulateur de marche qui ne casse pas trois pattes à un canard, mais ça fait son petit effet.

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Après, il faut aussi voir que le titre n’a pas grand chose à présenter d’autre que ce contexte et cette ambiance. L’histoire est encore trop peu avancée et confuse pour qu’on puisse en juger. C’est d’ailleurs inquiétant, les développeurs ayant apparemment prévu de sortir le jeu d’ici la fin de l’année. On peut prévoir quelques mois de retard.

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