ARK: Survival Evolved a plutôt bien choisi son nom puisqu’il se présente comme une révolution pour le genre du survival. Vous contrôlez Jean-Claude ou Micheline qui se retrouve à poil sur une île déserte et doit survivre en cultivant du blé, en construisant une maison et en chassant. Bref, rien d’original jusque là. Mais le studio Wildcard prévoit à côté de ça un écosystème assez violent à base de dinosaures, l’aspect principal du jeu. Ces derniers pourront être combattus puis capturés pour ensuite les élever et les utiliser en tant qu’animaux de compagnie, que ce soit pour se déplacer ou combattre. Une soixantaine d’espèces est prévue.

Ça tourne sous UE4, c’est beau. Si on rajoute à ça un système de tribus (des guildes), une vraie progression avec comme but final la conquête de l’ARK, un monde énorme persistant et en multi, un support Oculus Rift VR et la possibilité d’invoquer des dieux mythologiques, ça commence à faire beaucoup. C’est là le souci de ARK. Ce n’est certainement pas le premier jeu de survie trop ambitieux qui s’est présenté sur l’accès anticipé Steam, et le contenu paraît bien trop massif pour lui faire confiance. Les développeurs prévoient de faire une update tous les deux jours et enchaînent promesse sur promesse. Le studio n’ayant en plus pas de passif, je trouve l’excitation générale pour le jeu un peu exagérée et ne lui fais absolument pas confiance. ARK: Survival Evolved sortira en accès anticipé sur Steam le 2 juin et prévoit une sortie complète début 2016 sur PC, PS4 et XB1.

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