Ô Nofragés, Nofragées, fraggeurs vétérans et donneurs de mort.
Connaissez vous la chanson de la 4.2 d’Urban Terror ?
La vaillante épopée d’un brave codeur, face à la ruine et au désespoir,
Le jeu mourait à petit feu, ses seigneurs broyaient du noir.

Sa version HD n’arrivait point, une impasse, Sisyphe poussant son rocher.
Charles Duprey, dernier des rois, n’abandonnait point son aimée.
Aubes et crépuscules, son désir était d’améliorer son royaume.
Tirer son peuple de l’ennui, les attirer de nouveau, chantant ses psaumes.

Grandes promesses, grande sortie, Charles Duprey sauva le monde.
Mais ceci, attentifs gens, c’était avant que les bugs n’inondent.
Lame au clair, tranchant, l’hécatombe se faisait. L’ennemi était vaincu.
La 4.2 d’Urban Terror était stable, les hommes heureux, grâce était rendue.

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