Durant ses quinze premières années, Starbreeze avait accumulé une grosse dette et l’entreprise a parfois été proche de la fin (une bonne partie des développeurs de l’époque Riddick/Darkness ont fondé MachineGames, le studio qui bosse sur le prochain Wolfenstein). Et puis, l’été dernier, Payday 2 est sorti. Depuis, Starbreeze, qui vient de publier ses comptes, nage dans le pognon et fait enfin des bénéfices.

On apprend au passage que Starbreeze veut s’introduire en bourse au Nasdaq et que le studio a signé un nouveau contrat avec 505 Games (l’éditeur de Payday 2 et Rekoil) en décembre : l’éditeur va payer six millions de dollars pour que le studio continue de bosser sur les DLC et patchs de Payday 2 pendant deux ans.

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