Craig Hubbard revient sur le développement de No One Live Forever, exhibant une lettre de la MGM les accusant d’avoir plagié James Bond un an avant que le jeu sorte. Si vous êtes amateur de nostalgie et de « c’était mieux avant », lisez l’interview.
Craig Hubbard revient sur le développement de No One Live Forever, exhibant une lettre de la MGM les accusant d’avoir plagié James Bond un an avant que le jeu sorte. Si vous êtes amateur de nostalgie et de « c’était mieux avant », lisez l’interview.