Adrian Chmielarz, le creative director de Bulletstorm, se lance dans un long monologue filmé par GameInformer :

  • Le héros : contrairement à ceux des autres FPS, le héros de Bulletstorm a énormément de personnalité et parle sans arrêt. Il est fier de picoler et passe son temps à insulter les ennemis et à jurer.
  • La campagne solo : elle débute par le crash de votre vaisseau spatial sur une mystérieuse planète. Votre objectif consiste à rentrer chez vous, mais sur le chemin vous découvrirez pourquoi cette ville si riche a été abandonnée et ce qu’il est advenu de ses habitants. Indice : monstroplantes.
  • Les détails : les développeurs ont porté une grande attention aux détails, et tant pis si la plupart passeront totalement inaperçus. Par exemple, quand vous donnez un coup de pied dans le bide d’un gars, il crachera du sang. Et si vous le manquez de justesse avec une arme à feu, il fera mine de se pencher pour tenter d’éviter la balle.
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