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« Nous voulons que, pendant les phases de combat, le joueur se sente surpuissant (tout en gardant un bon équilibre dans le gameplay) et lui fournir un spectacle visuel digne d’un film d’action. Le gore y est très utile, et le joueur ressent une grande satisfaction à voir des morceaux de viande et des explosions de sang gicler à chaque impact de balle. »
Mark Wood, responsable des effets de F.E.A.R. 2: Project Origin

Voilà qui est bien vrai et bien dit ! Monolith n’a pas peur de la censure et met le paquet sur les effets gore : on pourra couper les corps des ennemis en six, les vaporiser et leur faire éclater la boite cranienne :

« Dans le premier F.E.A.R., les headshots fonctionnaient de la même manière que les autres démembrements. A savoir que la tête volait purement et simplement. Je voulais quelque chose de plus chaotique dans la suite. Une pastèque qui explose, ça vous parle ? Maintenant, on fait disparaitre la tête et on la remplace par des petits bouts de tête : morceaux de crâne, nez et cerveau. On peaufine ça avec trois litres de notre nouveau système de particules de sang et nous avons un gib tout à fait satisfaisant. Ajoutez à ça une dose de slow-motion, vous pourrez très bien voir un oeil ou une dent voler près de vous en plein combat. »

Etonnament, d’après un vieux sondage que nous avions lancé en 2004, vous n’êtes pas si nombreux que ça à apprécier une telle dose d’hémoglobine :

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