Gengamers a interviewé Nikolay Dybowsky (Ice-pick Lodge). Un article qui dévoile enfin ce que Pathologic cache derrière ses graphismes ratés. Accrochez-vous au plafond :

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Trois héros complétement tordus doivent survivre 12 jours dans une ville située à mi-chemin entre le passé et le présent et infectée par un étrange virus. Vous devrez avant tout trouver de quoi survivre, l’eau pure est une denrée rare et les munitions encore plus : au mieux vous tirerez une centaine de balles dans tout le jeu. Votre principal adversaire est le virus lui-même que vous devrez éviter. Pathologic vous permettra de faire du commerce, voler, piller ou combattre les PNJ. L’univers sera composé d’un seul niveau : la ville elle-même. Votre personnage sera l’un de ses principaux ennemis (?!).

L’action se déroulera en temps réel (les 12 jours équivaudront à 30 heures) et à la fin du jeu, vous vous rendrez compte que tout ce que vous aviez compris du virus et de la ville se révelera complétement faux. Quoi de plus naturel sachant que le scénario s’inspire des oeuvres de D.Lynch, E.A.Poe, G.Meyring, F.Kafka et Umberto Eco.

Les auteurs de Pathologic estiment que leur jeu est loin d’être un FPS, il s’agit juste d’une aventure en vue subjective plus proche d’une oeuvre d’art que d’un jeu vidéo. Il n’est pas précisé s’il sera possible de faire des head shots.

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